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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 10:00

e vitrail en 1986, et la façon dont il est regardé par les gens et leurs souvenirs des vitraux.

 

 

Au  XXe siècle,  de 1960 jusqu’aux années 1980, le vitrail n’était pas perçu par les gens. Ils ne connaissent pas leurs églises. Que des fois, avec  les maire, conseillers, ou représentant de comités, j’ai été surpris par leur méconnaissance des sujets de leurs vitraux et de leur état de conservation. Cela c’est aggravé entre 1980 et 2000. pour certains édifices, délaissés par les comités de restauration, et ne servant plus qu’aux essentielles activités du culte : messes et enterrements. Ils sont plus  sensibles à une porte en mauvaise état, à des ardoises qui tombent. La fermeture quasi permanente actuelle de l’édifice, même en zone rurale, n’est pas pour arranger les choses. Cela va mieux en été.

 

La façon de rentrer dans l’édifice, le silence qui était recommandé, le manque de liberté de circuler dans l’édifice, la trop grande sacralisation du lieu, héritage du siècle dernier et de la première moitié du XXe, tout cela concourait à ce que le vitrail était très peu vu et très peu connu par les fidèlesCependant il faut parler d’une « acceptation par usage » ou « civil inattention ». Les fidèles très vite s’habituent au lieu. Un vitrail neuf, très vite il est oublié. Cela est peut être bon signe ; C’est qu’il colle bien à l’édifice, mais cela peut être aussi grave. S’agit-il d’une mauvaise éducation de l’œil ? ou d’une inattention ? cela est l’indice d’une acceptation positive et sans discussion. Acceptation par l’usage devient une attitude circonstanciée et souvent opportune par rapport à l’art. On accepte.

 

         Jeanpierrelebihan 1986

Actuellement, on peut remarquer, lorsque l’église est ouverte, que les gens et surtout ceux des comités regardent le vitrail. La vision du vitrail n’est plus figée. La lecture est faite de tous les endroits.

 

On se promène partout, on regarde partout. Seules les portes obligent les gens à passer par un endroit. Les bancs, les chaises ne sont plus un obstacle, une barrière à la circulation.

Cependant il faut parler d’une « acceptation par usage » ou « civil inattention ». Les fidèles très vite s’habituent au lieu. Un vitrail neuf, très vite il est oublié. Cela est peut être bon signe ; C’est qu’il colle bien à l’édifice, mais cela peut être aussi grave. 

 

La circulation de l’œil est omniprésente. Le vitrail n’est plus que de face ou de biais. Il est vu à un mètre, à dix mètres, il est regardé de gauche, de droite. L’édifice n’a pas perdu de sa sacralité.

 

Cependant, on peut noter, chez habitants de certaines communes, des brides de mémoire sur leurs vitraux. On se rappelle avoir vu leur  pose. «  J’avais 10 ou 12 ans » «  Nous y avons lancé des cailloux en sortant du caté. »  Ce sont des gens plutôt des années 1925-1935.  Ce sont ceux que nous rencontrons, responsables de comités, de communes. «  C’est le portrait de mon père, de la tante de la grand’mère, d’un tel. » Vitraux du tout débit du siècle, parfois du siècle de la fin du siècle d’avant. «  On m’ a dit que c’était le portrait du recteur, du maire, de ; ;. »

Actuellement, on peut remarquer, lorsque l’église est ouverte, que les gens et surtout ceux des comités regardent le vitrail. La vision du vitrail n’est plus figée. La lecture est faite de tous les endroits.

 

On se promène partout, on regarde partout. Seules les portes obligent les gens à passer par un endroit. Les bancs, les chaises ne sont plus un obstacle, une barrière à la circulation.

 

La circulation de l’œil est omniprésente. Le vitrail n’est plus que de face ou de biais. Il est vu à un mètre, à dix mètres, il est regardé de gauche, de droite. L’édifice n’a pas perdu de sa sacralité.

 

Cependant, on peut noter, chez habitants de certaines communes, des brides de mémoire sur leurs vitraux. On se rappelle avoir vu leur  pose. «  J’avais 10 ou 12 ans » «  Nous y avons lancé des cailloux en sortant du caté. »  Ce sont des gens plutôt des années 1925-1935.  Ce sont ceux que nous rencontrons, responsables de comités, de communes. «  C’est le portrait de mon père, de la tante de la grand’mère, d’un tel. » Vitraux du tout débit du siècle, parfois du siècle de la fin du siècle d’avant. «  On m’ a dit que c’était le portrait du recteur, du maire, de ; ;. »

Actuellement, on peut remarquer, lorsque l’église est ouverte, que les gens et surtout ceux des comités regardent le vitrail. La vision du vitrail n’est plus figée. La lecture est faite de tous les endroits.

 

On se promène partout, on regarde partout. Seules les portes obligent les gens à passer par un endroit. Les bancs, les chaises ne sont plus un obstacle, une barrière à la circulation.

 

La circulation de l’œil est omniprésente. Le vitrail n’est plus que de face ou de biais. Il est vu à un mètre, à dix mètres, il est regardé de gauche, de droite. L’édifice n’a pas perdu de sa sacralité.

 

Cependant, on peut noter, chez des habitants de certaines communes, des brides de mémoire sur leurs vitraux. On se rappelle avoir vu leur  pose. «  J’avais 10 ou 12 ans » «  Nous y avons lancé des cailloux en sortant du caté. »  Ce sont des gens plutôt des années 1925-1935.  Ce sont ceux que nous rencontrons, responsables de comités, de communes.



Par contre, certains, découvrent que ce sont leurs parents ou grands parents qui les ont offert. Ils n’ont jamais regardé le bas des vitraux, ou ont oublié.

 

Il y a des souvenirs plus fessiers : «  j’étais assis ou assisse, près de tel vitrail, derrière le pilier » Occupation visuelle nécessaire lors d’office qu’on ne suit plus. Où encore, mais cela remonte à la prime jeunesse : «  Le visage d’un tel dans un vitrail ou d’un démon nous faisait peur. »



 

Que de leçons de caté passées avec le recteur ou l’abbé devant un vitrail relatant, la vie du Christ et la vie d’un saint, d’une sainte, que de canots dans la tempête, un Christ qui marche sur l’eau, des images de guerres et de soldats mourants, Vivement le retour à la sacristie.

 

Que de leçons de caté passées avec le recteur ou l’abbé devant un vitrail relatant, la vie du Christ et la vie d’un saint, d’une sainte, que de canots dans la tempête, un Christ qui marche sur l’eau, des images de guerres et de soldats mourants, Vivement le retour à la sacristie.

 

 

 

 

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 18:12

Chapelle du Pérennou, fin XIXe.

 

Baies à deux lancettes et quatre panneaux.

Deux panneaux inférieurs à personnages sur fond de vitrerie losange grisaillée d’une croix en enlevée. Cartouche avec leur nom.

 

avec filet les deux hauts avec fleurs,

roses avec phylactère se terminant « Rosa rum »

fleurs des champs avec phylactère portant » Ego flor campi »

 

 en pied de trois quart droite ,Saint Charles, portant  une petite croix dans la main droite et saint Corentin, en évêque

Saint Louis de trois quart droite, portant la couronne d’épines et saint Pierre de face, visage de trois quart gauche portant la clé de la main droite

Saint Jean l’évangéliste  avec son aigle et sainte Gertrude, habillé en abbesse bénédictine. Avec un lys à la main et l’autre main sur le coeur.

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 17:44

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 15:16

Le26 AOUT1738,eut lieu le contrat d’échange de terres et fossés entre Jean Le Goff fils et juveigneur, et Mathurine Couetemeur

 


devant nous notaires de de la Cb_timents.gifour  Jurion de Pontivy, siège du Duché de Rohan, Pairie de France avec soumission et prorogation rexpresse y jurée néanmoins ont comparus en leurs personnes Jean Le Goff et Mathurine Coatemeur veuve de Louis Le Gofff et Mathurine, gens de ménage demeurant rarement au village de Cran en SaintGérant paroisse  de Noyale Pontivy au diocèse de Vannes, les quels déclarent leur appartenir chacun la terre ex libre de domaine congéable ptochenement de cette seigneurie de Pontivy située audit village de Cran dépendances d’undit Jean le Goff, lui comme juveigneur par lamort de Louis Le Goff  son père celle de ladite  departage des suscessions de Michellechaumissa et père  ny mère et d’autant que les terres s'y desnommées sont très incommodes à servir et déservirsont l'une  à l'autre dont l'une à l'autreles fossés lui appartenant sur son clos de Lande nommé le parc Lande De la Croix Cohic

 

et contre l'échange du'ils fonds réciproquemment à l'amiable? l'un à l'autre des terres  droitier

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 17:54

Le savoir faire d'une méthode

 

lNotre'approche du vitrail depuis de nombreuses années

 La Consultation des livres   anciens

  Une Technique qui évolue tous les jours

Le savoir faire transmis aux compagnons

 l'étude de l'état de tous les vitraux des côtès extérieures et intérieurs sur demande inspecteur

 

Des relevés photos avant et après

 

 la dépose d'un vitrail:définir avant:  son état la datation et la technique

 

Les lieux   de stokage.

 

 

Les rendez vous de chantiers avec les architectes  durant les travaux, en ateliers et sur le chantiers

 

 

La baie 100.

 

 oneCollaboration avec un confrère

 Le nettoyage des verres

Les verrières de doublages

 

Restauration par c ollages, doublages et par insertions  de pièces neuves

 

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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 15:34
BENEDICTION DE VITRAUX

 

.la 4 décembre 1983.          L’abbé Laouénan, recteur de Combrit bénit  à l’église un vitrail de Lajjaridge lors de la grand-messe  de 10h30.

 

En 1983.                               A la Sainte-Baume, la verrière de la grotte de Marie-Madeleine, œuvre de Pierre Petit est bénite par l’évêque des armées, alors coadjuteur  à Marseille.

 

En Aout. 1984.          A Combrit, bénédiction par l’abbé Laouénan des vitraux de Notre-Dame de la Clarté, œuvre de Lajaridge.

 

En  Juillet1985.         A Locronan, Notre Dame de Bonne Nouvelle, bénédiction par l’abbé Dilasser des vitraux de Manessier.

 

                        A Mellac, chapelle de la Madeleine, bénédiction des vitraux de Jean Pierre le Bihan.

 

En Mai 1986.            L’abbé Laouénan, recteur de Combrit, bénit un nouveau vitrail de Lajarrige ainsi qu’un retable.

 

En septembre 1987, A Guilers, bénédiction du vitrail du chevet par l’abbé Berthou de l’évêché.

 

Rennes, 35, Cathèdrale saint Pierre  baie ouest XV XV°

 

Brignogan, 29, chapelle Pol. 1999.

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 17:09

JEAN LE BIHAN  ET LA CROIX DE VERMEIL.

 

 

 

 

 

 

 Ma grand-mère paternel,  de Pontivy, chez qui je passais une partie de la guerre, , j’avais de 5 à 10 ans, me racontait souvent, des histoires de chouans.  Il est vrai que du côté de Pontivy, là-bas dans le Morbihan, il s’était passé, durant la Révolution, des choses, parfois belles, parfois pas belles du tout. Le grand-père, un docteur était un amateur des chants. Dans sa salle d'attente lorsqu'il n'avait pas de clients, il jouait sur ses instruments et chantait des chansons bretonnes dont il composait la musique.  Je le découvrirait bien plus tard.  

 

Ces récits de faits historiques déformés par l’imagination et par la transmission de  générations en générations, étaient devenues des légendes. Ces légendes, je les avais complètement oubliés.

 

  La découverte des  documents de l'an mille septcent soixante quatre

Il y a quelques années, mon père,qui est mort depuis à un âge bien avancée, me passa une liasse de documents écrits à la main d’une belle écriture en vieux françois, datant de quelques années d’avant la Révolution. Parmi eux, se trouvaient des baux  fermiers où le nom d’un Jean Le Bihan du village de Kerio en Noyal-Pontivy revenait  à toutes les pages.   Ce nom  et ce village où je n’avais jamais été  me disaient  cependant quelque chose et avaient un parfum d’enfance.

 

Quelque temps plus tard, je tombais sur un livre ayant trait à cette époque Révolutionnaire dans le Morbihan. J’y retrouvais étalé sur  cinq pages ce Jean Le Bihan et ce que ma grand-mère me racontait à sa façon..  Et dans ce livre des années 1980,  un petit-fils  narrait ce que sa  grand-mère lui avait raconté, une grand-mère dont le Jean Le Bihan était son aïeul

 

Ce Jean Le Bihan était aussi mon aïeul. Le narrateur je ne le connaissais pas, pas plus que la grand-mère.

 

Ces Le Bihan habitaient donc au village de Kerio, non loin de la route de Pontivy à Loudéac,  et ce, depuis un temps immémorial, c’est-à-dire depuis au moins le XVe siècle,  Ils possédaient un manoir rus­tique,  avec aire à battre, puits,  longères, couvertes de paille, au bout desquelle était une étable à porcs., une galerie en bois, des tas de bâtiments agricoles entourés de vergers, de champs de labour et de prairies toujours vertes.

 

Tout cela  existe toujours, en partie, entre les mains du dernier Le Bihan de cette branche. Car le l’ai rencontré depuis ce le Bihan à Kerrio.

 

Revenons en 1789

 

Comme tous les gens de l’époque, juste au début de la Révolution,  Les Le Bihan étaient religieux,  comme on disait à l’époque . De plus, ils se transmettaient, de père en fils, le titre de trésoriers  de la fabrique de chapelle du quartier,  chapelle très célèbre par son pèlerinage à la Sainte-Mère et son pardon aux chevaux et aux joueurs de boules. Le trésor de la paroisse étaint une croix de vermail, qu'il cacha au fond d'un puit  afin de la soustraire aux Révolutionnaires.

 

Chaque année, au mois de juillet,  c’était le mois du Pardon, il y venait une multi­tude de fidèles, qui voulait par de riches présents, chacun suivant sa bourse, solder les faveurs de la sainte Patronne du lieu où en demander encore. Car cette Sainte-Mère écoutait bien ses paysans et répondait dans la mesure du possible à toutes leurs demandes

 

 Aussi la chapelle était riche de dons et possédait un trésor plein d’objets précieux, d’or, ou d’argent et de vermeil, que les le Bihan comptabilisaient. Ce trésor servaient à entretenir la chapelle, il fallait bien de temps en temps refaire la toiture d’ardoises, deux fois le clocher avait été touché par le tonnerre. Les vitraux où l’on racontait l’histoire de la Vierge et de son fils devaient être entretenus tous les demi siècles quand cela n’arrivait pas plus tôt  avec les vandales, car ces choses arrivaient aussi à cette époque. Donc, cette chapelle avait un trésor et les le Bihan en étaient les gardiens.

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 16:49

La maison principale, l'écurie (3)au bout et une maison nommée la Chambre, joignant la principale, le tout formant un même corps de logis à deux longères (4)et trois pignons; de maçonnage commun en pierres couvertes de pailles, contenant  '(45 pieds(5) de longueur en dehors sur 18 pieds de largueur,

 

 En dedans, 12 pieds de hauteur sous couverture. En la longère du devant, au Midi, au rez de chaussée sur la cuisine, il y a une porte et une fenêtre garnie d'une barre de fer  carrée de pièrres de grains, outre une petite fenêtre longue Sur l'écurie, une fenêtre gerbières(6) et une plus petite fenêtre. Sur le grenier, le tout aussi à carrées de pierres de grains. En la longère de derrière la dite maison principale au Nord, il y a une porte à carrées de pierres de taille, et une petite fenêtre de maçonnage commun. 

En la longère du devant de la chambre, il y a deux fenêtresde maçonnage commun, l'une au rez chaussée, l'autre sur le grenier. Dedans le pignon de ladite chambre unepetite fenêtre du même maçonnage, corbeaux et manteau de bois, dans laquelle il y a quatre fenêtres orbes  (7)la charpente du tout est composé de deux fermes garnies de leurs fillières, au fond de la dite chambre, il y a quatre poutres, et au fond de l'autre maison,  (8) l'écurie, il y a onze poutres. 

 

Une autre maison joignant le pignon de la chambre ci devant à deux longères et deux pignons, de maçonnage commun, couverte de pailles au bout de laquelle est une étable à porcs. Le tout contenant 43 pieds de longueur en dehors, sur 15 pieds de largeur(8) En dedant  8 pieds de hauteur sous couverture. En la longère du devant au Levant, il ya une porte, une fenêtre gerbière et deux autres petites fenêtres de maçonnage commun et carrée de bois. Dans la longère du derrière au Couchant, il y a une autre petite fenêtre en fente aussi de maçonnage commun dans le pignon au bout du Midi, dans laquelle il y a une fenêtre orbe, toutes de maçonnage commun. 

La charpente est composée de trois fermes garnies de leurs filières  et autour de ladite grange il u a sept poutres.

une grange près de l'aire à battre ciaprès deux longères et deux pignons de maçonnage commun en pierres  elle ausssi couverte de pailles, contenant40pieds de longueur en dehors sur 18 pieds de largeur, 59 huit pieds de hauteur.   En la longère du Couchant, il y a une grange porte charretière à carrée de pierres de taille. En la longère du Levant une fenêtre en fente, dans le pignon du Nord une autre fenêtre en fente et dans lapignon du Nord une autre fenêtre aussi en fente et une fenêtre orbe, youtes de maçonnage commun.La charpente est composée de trois fermes garnies de leurs fillières et autour de la dite grange il y a sept poutres. ne gallerie ou auvent près de ladite aire à battre a un pignon et une longère soutenue au Midi par trois pîliers de bois couvert de paille, contenant 35 pieds de longueur sur 12 pieds de largeur et 7 pieds de hauteur.

 La charpente est composée de 3 fermes autour de ladite galerie il y asix poutres L'Aire à battre contenant 4 cordes (11) clos d'un bout et d'un côté Dun mur de massons contenant 88 pieds de longueur. Un puits situé derrière la maispn ^rincipale du Nord contenant 40 pieds de profondeur (12) Un four de maçonnage, de pierres de taille et autres,  édifié près le jardin de Pierre Allanic, contenant 60 pieds de conférence (13)

 

 (3) Le Leurée

 (4) longère: Bâtiment faisant suite à un ou plusieures autres.

(5) un pied fait 33 centimêtres. Cette maison a donc une longueur de 14,85 mê

6) gerbières charrette servant à transporter les gerbes. Ici probablement ouverure faite pour faciliciter les passage des gerbes.

-(7) orbes; orbis: cercle soit fenêtre ronde ou fenêtre dont la partie haute est en plein cintre.

(8):Cette" autre maison" (8) mesure 14,mêtres de longueur sur 5,94 de largeur et 2, 64 de hauteur intérieure 

(9) Cette grange mesure 14,85 mètres de longueur sur 5, 94 de largeur et 2,64 de hauteur intérieure.

(10) cette galerie doit  exister encore  elle faisait à l'époque 11, 55 mètres de longueur et une haiteur de 2,21

(11) Cordes. la corde fait 24 pieds, le journal fait 60 cordées, la perche carrée : 22 pieds de roi.

(12), ce puits ferait 13, 20 mètres de profondeur (13) ce four aurait une circonférence de 19,80 mètres soit 6, mètres de diamètres.

 

 

tres

 

 

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 17:37

"Honorable" En zone rurale, toutes notabilités n'existaient que dans la charge des cultivateurs et encore ne trouve-ton que peu de qualification d"honorable homme"; expression consacrée aux XVII° et XVIII° siècle pour désigner des cultivateurs propriétaire et jouissant d'une certaine supériorité sur les autres habitants par leurs instruction ou leur fortune.

 

"Juveigneur" C'est le fils cadet, juveigneur, qui hérite de ses parents et à défaut d'enfants mâles, la cadette de la famille.

Son père se prénommait Guillaume qui décéde le 24  9 1754 à Moréac Les successeurs furent deux Jean Le bihan décédés en 1902 et  aux environsde880

 

 

Il s'agit de l'une des dispositionS sucessorales les plus curieuses de l'usement. de Rohan. 

 

 Querio en Noyal Pontivy;" petit village sur la route joignant Noyal-Pontivy à la départementale Pontivy- Loudéac. Actuellement il s'écrit Kerio et la tenue de ce manoir  de Kerio depuis le XV° siècle aux Le Bihan.

De nombreux  éléments de la description existent encore

. A l'époque de cet aveu: Ogée donne: pour Noyal Pontivy " A 10 lieues  un demi au Nord de Vannes son évêché; a 18 lieues5/4 de Rennes, et 1 lieue et demie de Pontivy, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Ploermel, 8000 communiants, y compris les trêves de Gueltas, Kerfourn, Saint gérand et Saint Thuriau. La terre est fertile en grains, lin et fruits.  possède la forêt de Branguily;

 On observait jadis des coutumes singulières Si un marchand lord de la foire avait osé de vendre  avant que le receveur de la viconté de Rohan portait  le gant levé, il aurait perdu toutes sa marchandise.

 

Ces trêves ont été retirées en 1840. Auparavant elle était la commune la plus grande de Bretagne.

 

Titre de convenant le domaine congéable à luzemznt. Le domaine congéable ou convenant est un systême danb le fonds reste la propriété du seigneur.

Le seigneur est ici  est le seigneur de Rohan, IL donne la jouissance au domanier, moyennant une rente annuelle. Ce domanier est propriétaire desédifices et" superficiés",  de la tenue quilui reviendra au bout de quarante années; On en trouve même dure  au dela de deux siècles. Sile propriétaire veut le congédier, il doit lui rembourser la valeur des bâtiments de l'exploitation, des haies, des fossés,; des arbustes, de toutes les améliorations apportées au sol, des récoltes, ce qu'on nomme les droiyd convenantiers. Pour éviter le congédiement, il paye tous les ans un droit de commission.

Luzement ou usement est ici celui de Rohan, il est ailleurs, celui de Cornouaille, du Trégor, du Léon.

 

François Cadic,  1864- Noyal Pontivy+1929prêtre président de l'association des Bretons de Paris, créateur d'un bulletin mensuel de liaison des Bretons émigrès, auteur du récit de ce qui arriva au village de Kério durant la Révolution

Joseph Cadic, 1823 - 1875 époux d'Anne Le Bihan  nOYAL pONTIVY 1823=1875

 

 Comme ladite tenue se contient avec droit aux placis, noës, fontaines, douêts, abreuvoirs et autres franchises dudit village de Querio comme les autres Tenuiers si celui échue audit Jean Le Bihan de la succession de GuillaumeLe Bihan, son père, décédé il y a 15 ans,lequel tenait de Jacques Le Bihan aïeul.

 

 

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 10:53

LE VITRAIL, en tant que création , oblige, comme beaucoup de formes d'art, à une intense recherche

En Création: recherche de la lumière, prendre une connaissance de l'édifice - découvrir l'âme architecturale, la sensibilité à la foi et à la vie du lieu - - sensibilité à son environnement - avec en plus ce poids énorme de la recherche de l'avenir-
Je m'explique: ce vitrail ne va pas durer une décennie- il ne doit pas être un décor vite dépassé - il est la lumière de plusieurs siècles, mais aussi le témoin d'une époque, le témoin, d'une vie religieuse. il doit être créatif; chaque lieu  a son âme; il faut le sentir et ne pas le détruire; tant que le projet n'a pas accouché, c'est une imprégnation complête et longue de l'esprit;

 

EN RESTAURATION

la première chose, c'est de découvrir, un peu comme le petit Prince, c'est de sentir, de rencontrer et de devenir amoureux de la verrière;

C'est une lecture profonde de l'oeuvre- il faut arriver à la place de celui qui l'a fait - à la découverte de l'époque et du lieu, des commanditaires . et  qu'elle serait le message de foi qu'elle porte en elle - foi d'une époque et très diffèrente de la nôtre

C'est aussi pendant ou  aprés cette phase et en même temps une recherche livresque ou plus  sensible des références. les thèmes sont peu nombreux et les rapport entre eux importants dans leur tenacité.

Depuis le tout début du xix°siécle, on trouve une pléthore d'articles de fond sur le vitrail en Bretagne- mais il faut les analyser car tous les auteurs ont une sensibilité et des idées qu'ils ne peuvent étouffer.

C'est un long travail de réflexion sur le pourquoi de chaque pièce. Lors que le vitrail est décortiqué;

Une sorte de strance de découverte vous habite.

Cela ne sobtient pas d'unjour à l'autre, il faut des années pour y parvenir, mais chaque jour amène une parcelle de connaissance.

 

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