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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 18:42

 

Pour observer les tirs dans les lignes ennemies, deux officiers artilleurs  du front de Lorient s' envolent del'aéroport de Meucon à 11heures et rentrent .à 12heures 20

 

De haut, ils relèvent qu'ils ont vu  les communes de Sainte Anne, Auray, et toute la cote.

 

Au dessus des positions des deux camps, ils ont

tournés, retournés, attendant le déclanchement des tirs autant français qu'allemand qui ne venaient pas.


En désespoir de cause, ils prennent de la hauteur, et

survolent ces lignes. Ils voient, Hennebont, Lorient qui brillaient sous un soleil radieux.

Tout était calme.

 

Quand ilspassent  sur Auray, ils reçoivent le fin mot de l'égnime:

 

Il était interdit de tirer depuis 10heures;

 

LE RETOUR  AU commandement et la fête

 

 

 

 

 

La soirée de ce 8mai fut fort bien réussie  pour eux deux, et ils furent content car ils l'avait misée et avait peur d'être vexé.

 

La fille des propriétaires des lieux fut invitée d'allumer un V et une croix, les deux  faits avec de la poudre.

 

Il avait été préparé un feu de camp sur une grande pelouse près du PC.

 

Les invitations avaient été lancées à toutes les fermes des environs de Landévant, 

Il  y eu environ 450 personnes.Entre-autres des américains vosins sont arrivés, attirés comme les moustiques, ayant vu les papillons du feu de camp

 

La Fête commença à 9heures 45. Le commandant fit un petit laîus

Il avait été demandé de ranger tout ce monde en cercle.  puis ia fille d'un des propriétaires des lieux fut invitée à allumer un V et une croix , les deux exécutés avec de la poudre.

A l'extrémité d'une des branches du V se trouvait le feu de camp,  fait de lande et fagots. Il s'est allumé automatiquement. La Marseillaise est chantée.

 

Des pourparlers sont  en cours.

 

Après le diner, il est proposé une scéance de Cinéma à laquelle  une partie des soldats doivent aller.

 

A 6 heures déja, le bruit court que Lorient se rendait, à 19h 15 toutes les cloches des environs sonnent. la joie est dans l'air.  Les soldats chantaient:" je suis  le roi d'Espagne, avec des paroles adaptées pour les artilleurs. et cela  digneLeur commandant n'était pas peu fière 

Dans le bourg,il y avait  déjà du vent dans les voiles chez les fantassins

 

Les hommes arrivaient très dignes pour la scéance en colonne par colonne en chantant" je suis le roi d'Espagne;"

 

Après le diner, il y eu une séance de cinèma à laquelle  les officiers  devaient aller avec une partie des hommes.

 

 

Pendant la scéance, vers 22 heures ils apprennent que la fin des hostilités sur Lorient aurait lieu  et qu' elle serait éffective à 24 heures.

Les soldats  s'y attendaient depuis longtemps déjà et pourtant ne réalisaient pa encore tout que cela pouvait signifier

 

Les artilleurs étaient heureux mais sans exulter Ils pensaient à tous ceux qui n'ont pas connu ce jour ou qui le passe loin des leurs.

 

Vers miniut le cinéma fut terminée les hommes d'une batterie rentraient en chantant en choeur le long de la route jusqu"au cantonnement.

 

 Là les hommes qui n'avaient été au cinéma avaient dèja organisés une petite fête de famille: un fermier qui jouait de l'accordéon faisait dancer les hommes et les jeunes filles des fermes, en bretonnes évidemment

 

il n'y eu pas de beuverie. Ensuite un  nouveau feu de camp est monté avec des chants et danses, ce qui dura jusqu'à 2heures du matin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 16:45

CREDO DES APOTRES 

 

Guégon,  canton de Josselin, Morbihan, Eglise Saint-Pierre-Saint-Paul et Saint Cado.

Baie 6, soit sixième du côté Sud à partir de la baie du chevet, vitrail sur le Credo des apôtres de 1563.

 Les douze apôtres se trouvent dans  les 6 panneaux du bas du vitrail, deux par deux et face à face avec leur attribut. 

Les trois panneaux du haut présente une Crucifixion avec Marie et Marie Madeleine qui porte un immense manteau de couleur rouge. Un donateur y est présenté, qui serait un certain jean Thomé, recteur de Guégon. Jérusalem se dessine sur le fond.

 

 

Guern, 56,

église Notre-Dame de Quelven,  La disposition des apôtres a changé lors de la dernière restauration. Ils sont au nombre de 12, les quatre du haut ne sont représentés qu’en buste. Voir photos avant dans dossier photosvitraux.

 

Avant restauration, leur place était plus classique, le A1,* est devenu B2, le A2 est devenu A1, le A3 n’ a pas bougé, le B1 est devenu A2, le B2 est devenu B1, enfin le B3 n’ a pas bougé. Les blasons sont partis dans l’Arbre de Jessé ainsi que les motifs floraux. Les têtes de lancettes doivent provenir d’une autre fenêtre ainsi que les pièces anciennes ajoutées.

 

*La lecture des vitraux commence de la gauche, la première lancette prenant la lettre de A, la seconde B et etc. Les panneaux de vitraux sont numérotés à partir du bas.

 

Maël-Pestivien.Cötes d’Armor

 

            Eglise Saint Laurent  Credo Apôtres actuellement dans la baie 6, auparavant dans le bras nord du Transept 1520 datation de Roger Barrié chaque Apôtre est jumelé avec un Prophète. Les versets qu’ils présentent chacun dans un phylactère correspondent au Credo ou symbole des Apôtres pour les uns, et au verset correspondant du Livre des Prophètes pour les autres.

 

 C’est une démonstration visuelle de la concordance entre l’Ancien et le Nouveau Testament, sujet très répandu au Moyen Age, notamment chez les miniaturistes et peintres-verriers du duc de Berry.

 

 En sculpture, la série des Apôtres est un thème très fréquent dans les porches en Bretagne leur double haie nous mène vers le Seigneur qui se trouve, comme le dit Debidour, au fond de cette noble avenue

 

Les Apôtres de Maèl-Pestivien sont groupés par paire en référence à l’Evangile de saint Marc, où le Christ les envoie en mission deux par deux. Ils présentent dans leur phylactère quatre versets du Credo ou symbole des Apôtres, qui est le Credo du peuple et de la catéchisation, distinct du Credo de Niçée (325) souvent chanté clans les offices.

 

 Chez saint Pierre, reconnaissable à sa clé, on lit 

le premier verset en caractères gothiques “/C]redo i[n] Deum Pat/re]m omni[potentem]”.

 

 Au-dessus de saint André, présentant sa croix, c’est: “Credo Iesu/m] fChristum fihium] eius unicu [mi Dom f inum] nost/rum]”.

 

Saint Simon, qui devait être l’avant-dernier de la verrière d’origine, laisse difficilement découvrir dans son phylactère, dont la plus grande partie a disparu: “mortuis”, terminaison du verset: “resurrexita mortuis”.

 

 Chez saint Mathieu, portant la hache, c’est le dernier verset: “/ad] vitam eternam Amen

.

 

Merleac, Côtes d’Armor,

 

 chapelle Saint-Jacques de Saint-Léon

 

Réseau, Christ entouré de ses douze apôtres portant sur des phylactères les articles du Credo des apôtres, anges aux phylactères, armoiries

 

Durant la révolution,  les verrières surent enduites de fiente de vache et d’argile pour les protéger des révolutionnaires.

 

1860,  restauration et remise en plomb

 

1850, découverte sous une couche de mortier

1886, Hucher, restauration

1942, dépôt au château de Dinan, 1949, restauration, 1960 nettoyage des surfaces

 

 

 

Quéménéven, Finistère,                chapelle Notre-.Dame. de Kergoat. XV1460_1470 ;

 

A Quemper-Guézennec, 22,

 

 

 

  église, Il s’agit de vitraux, qui lors de la démolition de l’église, en 1869, furent sauvés. Ils étaient masqués par des planches et enduit d’argile.

 

En 1899, restauration de Félix Gaudin.

 

Baie du chevet composèe de six lancettes. Les apôtres , portent  tous  des robes de couleurs sous un manteau blanc, souvent accrochés à l’épaule. Leurs têtes vues de trois quart est nimbée verticalement. Ce nimbe a la particularité d’être assez grand et très travaillé avec parfois du jaune d’Argent. Il fait partie de la même pièce de verre que la tête.  Ils ont leurs attributs respectifs d’une main et un phylactère de l’autre avec un élément su Credo.

 

Chaque prophète fait face à un apôtre  Souvent il montre de la main droite le verset du phylactère  qu’il tient de l’autre main.

 

 

Saint Pierre et Jérémie

 

Draperie de couleur orange à damas se découpant sur un fond vert. Robe rouge sous manteau blanc. Clé se la main gauche et phylactère avec : Credo in deum omnipotentem. Jérémie robe bleue sous manteau blanc avec : Patrem invocabit qui terram fecit.Jeremie.

 

Saint André et  David.

 

Draperie de couleur rouge sur fond bleu. Robe bleue avec sa croix en X. Sur phylactère : Et in Jesum Christum filium ejus. Andrés. David, couronné, porte un manteau blanc à damas jaune sur une robe verte. Filius meus es tu ego hodie.

 

Saint Jacques et IsaÏe..

 

Draperie verte sur fond rouge. Robe rouge sous manteau blanc. Porte de la main gauche son bourdon de pèlerin et la verset : Natus ex Maria virgine, Jacobe. La prophète est en robe bleue sous une robe blanche à damas jaune dont les bouts des manchettes sont rouges. Ecce virgo concipiet et pariet.

 

Saint Jean et Daniel

 

Fond rouge et draps orangés. robe rouge et manteau blanc, il tient  un calice de la main gauche et un  phylactère de l’autre  Texte possible : Crucifixus, mortuus et sepultus est. Johannes.

 

Daniel, robe de couleur verte et manteau bleu comme le chaperon : Post  LXX hedomadas, accidetur Christus.

 

Saint Thomas et Malachie.

 

 Fond bleu et drapée rouge. Toujours le manteau blanc sur une robe ici de couleur rouge. Il tient une croix d’une main gauche et de l’autre le phylactère : Tercia dis ressurexit à mortuis. Le prophète Malachie est en robe orange, porte un bonnet blanc et tient un verset : Et fuit Jonas in ventrem ceti.

 

 Saint  Jude dit aussi Thadée et Amos.

 

Rideau jaune orangé dur fond vert. Manteau blanc et robe verte, tient la hache de sa décapitation, et un phylactère où l’on peut lire : Ascendit ad celos, sedet ad dexteram Domini. Amos portant bonnet de couleur verte et une robe blanche tient un verset : Qui aedificat in caelo ascensionem suam.

 

Saint Barthélemy et Sophonie.

 

Sur rideau rouge, il porte une robe de couleur jaune orangé et un manteau blanc. Il a son coutelas et un phylactère où l’on peut lire : In de venturus judicare vivos. Pour le prophète on relève un bonnet blanc et jaune, une robe verte et le verset :Sedebo ut judicui omnes gentes.

 

Saint Mathieu et Joël.

 

Sur rideau bleu, porte une robe rouge et une manteau blanc et tient une palme en plus du phylactère.Credo in spiritum sanctum ; Quant à Joël, c’est un bonnet jaune orangé et une robe vilette qu’il porte. Sur le verset :  Spiritus meus erit une medie vestrum.

 

Saint Jacques Le Mineur et Michée.

 

Rideau  de fond violet, saint jacques manteau blanc sur robe verte tient de la main gauche le verset sur phylactère qui pourrait donner : Jacobus sancta ecclesiam. La main droite porte peut-être un pain. Quant à Michée de la main droite il montre plutôt son voisin et tient de la main gauche son phylactère qui donnerait : Ce.. et erit civita gloria. Il porte une robe rouge avec large collet blanc au dessin de plumes et un orfroi jaune. Son bonnet pointu est violet

 

Saint Philippe et Zacharie.

 

 Il tient une lance, est habillé d’une robe rouge. Sur son phylactère :  remissionem peccatorum. Le prophète, robe bleue, phylactère avec Acharias, suscitabo filios tuas.

 

Saint Simon et Osée.

 

Sur fond de draperie rouge, l’apôtre est en robe  d’un rouge tirant sur le violet. Il ne porte aucun attribut. Par contre la phylactère nous renseigne sur son identité : Carnis resurrectionem. Simon. Le prophète Osée est en robe verte et porte un bonnet de la même couleurs. Son phylatère  blanc de la même teinte que tous les autres donne  de même son nom : Ose, Arida audite verbum Domini.

 

 

Saint Mathias et Ezechiel.

 

 

Un drapé de couleur verte se détache d’un fond rouge . De la même couleur est la robe de l’apôtre. Il signe son phylactère, à défaut d’attribut : Et vitam eternam amen. Mathia. Quant à Ezechiel qui porte robr orange et bonnet bleu il tient le verset : Et erit dominus regnum missus..

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 15:19

 

 Roscanvel, Finistère l'église Saint-Eloi.  possédait des vitraux en  dalles de verre de l'atelier Labouret.datant de 1951-1952  édifice détruit par un incendie lors de la nuit du 2 au 3septembre1956 Il s'agissait d'une Crucifixionn, d'un Couronnement de la Vierge Marie et d'une Sainte Anne.

 Les dalles ont complètement éclatées, le ciment et la ferraille ont tenu, du moins dans les premières années  après l’ incendie, puis l’eau est rentrée dans le béton, les ferrures ont rouillées et les panneaux ont pris du ventre.

 

Le verre lui même a fondu et coulé surtout dans certaines fenêtres  du côté nord ( = de 700°) les fentes  dans les dalles ont du intervenir au refroidissement entre 300 et 400°.

 

Douarnenez, Finistère, clinique Le Clos 1986.

 

Suite à l’incendie d’une voiture garée sous le mur, une verrière a été touchée  Les verres ont été fendus et le plomb des vitraux  quant à lui a fondu. Un voile opaque s ‘est posé sur les verres du côté extérieur.

 

Sur la deuxième fenêtre, plus éloignée de la source du feu, il y aquelques pièces  du vitrail brisées, par contre les soudures d’étain ont fondu

 

Botmeur,Finistère église Saint-Eutrope et Saint Isidore, ancienne chapelle du chateau de Botmeur en Berrien,paroisse ne 1837, les vitraux de 1910 pnt été détruits par un incendie.du9 juin 1934

 

Brest, Finistère, Palais des Arts et Culture.  Lors d’une exposition sur le vitrail breton,  un incendie eut lieu. Appelé, j'ai pu récupérer certaines pièces de vitraildes >X°et XVI°  mais pour certaines, l’équilibrage des tensions a amené  une pulvérisation des verres etcertaines de ces pièces ont été  réduites en poudre.

 

saint-jean-du Doigt, église Saint-Jean-Baptiste, nuit du 5 au 6 novembre 1955.

 

Trégarantec, église Saint-Théarnec, dévastée par un incendie lors de la nuit du 17 au 18août 1890

 

 Carhaix Plouguer, église Saint-Trémeur Finistère. Incendie du 9 décembre 1923 à l'heure de midi et qui brula durant 2 heures.

 

le saint Ciboire qui se trouvait dans le tabernacle resta intact au milieu du brasier.

Un missionnaire  de l'ordre des Capuçins qui se trouvait sur place vint le prendre lorsque l'incendie eut perdu de son intensité. Il le transporta au prebytère cf tadirjaffrennou "Carhaux". 

 

Saint Théogonique 1999 ;;;;

 

Les pièces cassées sont relevées par centaines et cela se produit encore  longtemps

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 15:00

  Saint Mamer, éVêque de Vienne, il institue les procession des Rogassions

 

Saint Pancrace, Il y  a deux. saint Pancrace; en latin Pancratius

 

Le premier est un jeune chrétien, décapité à l'age de 14 ans au IV° siècle, Honoré à Rome le 12 mai.Représenté debout, tenant une couronne, de lui une mosaïque du VI° siècle.Représenté aussi avec son épée de décollation.

 

Le second, est évêque deTaorménium vers le 1er siècle, honoré comme martyr le 9février. est représenté debout tenant un livre fermé accompagné de deux autres saints tenant le même attribut.

 

sAINT Servais.¨évêque de Tongres, et de Maestricht. aux IV°siécle.Est représenté avec un aigle planant sur sa tête pour lui faire de l'ombre pendant qu'il dormait au soleil.Miracle qui lui sauva la vie. Il a un ange qui qui le conduisit d'Arménie à Maestrich.

Autre représentation,une clef qur lui donna Saint Pierre.  Autres iconographies:fontaine, mître,

Il est Invoqué pour les maux de jambes.

Ilest aussi honoré le 13 mai.

 

Saint Urbain,  Il y a aussi deux Saint Urbain. L'un pape, dont I'conographie est un baptême qu'il confère aux saints Tiburce et Valérien. C"est aussi Un calice parce qu'il voulut que ce vase sacré fut désormais en métal précieux.

 

L'autre,évêque de Langres;son iconographie est une grappe de raisin, parce qu'on l'invoque comme protecteur de la vigne.

 

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 09:59

bien  qu e ces murs soit tournés vers le nord ou vers le sud. Dès le IXe siècle, il a été formulé qu'il n'y avait aucune raison de se tourner dans un certain sens pour prier.

 

Mais bien qu'elle ait perdue, depuis lors, sa raison d'être,

l'orientation des lieux de culte est une règle que l'Eglise n'a pas abolie.

 

Si l'Orient est considéré comme le symbole du Paradis,

 

 l'Occident, ou l'Est , est lui considéré comme Le royaume des ténèbres et de la mort.

 

 Souvent le mur ,de ce côté mais à l'extérieur, présentera un Jugement Dernier.

 

 entre autre: Beaulieu, Conques,Laon, Moissac, ,,

 

 

Le Nord est la région des frimas et de l'obscurité, il est voué à Satan, au règne de la Loi.

 

 

Le Sud, Le Midi d'où viennent la chaleur et la lumière évoque l'idée du Christ Sauveur.

 

Ceci peut s'expliquer en  parce qu'en entrant les fidèles ont, en entrant dans l'église, le nord à leur gauche et le sud à leur droite.

 

 La gauche a toujours été réputée de mauvais augure.

Le mot sinister a donné en français le doublet senestre-sinistre.

La dextre a toujours occupé la place d'honneur

 

Dans les Crucifixions, la Vierge est à  la droite du Christ, elle symbolise l'Eglise, saint Jean à gauche, la synagogue, soit l'ancien testament.

 

 

 Dans les jugements derniers, les Elus sont placés à la droite du juge et les réprouvés à la gauche.

 

 Dans la nef des églises, les hommes occupent la droite, les femmes considérés comme des inférieures sont du côté gauche.

 

 Mais cela, on le voyait du temps de nos grand-mères...  et encore en Bretagne lors des entérrements dans les années 1960.

 

Continuons encore sur  le côté symbolique du Nord et du Sud.

 

 Dans la décoration des églises, fresques, vitraux, sculptures,

 

 le Nord est réservé à l'Ancien Testament, et le Sud au Nouveau Testament.

 

Autre symbolisme, les fonds baptismaux,  ils doivent...! être placés du côté nord de l'église

 

car la Nord est la région des ténèbres où sont plongés les néophytes, avant la purification du baptême.

le 8, symbolise la renaissance par le baptême et la résurrection; aussi, les baptistères ont souvent une forme octogonale

Parfois ces fonds baptismaux sont placés certe du côté nord mais aussi dans l'angle faite avec le côté ouest. on les trouve aussi actuellement proche du choeur.

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 09:04

SYMBOLISME  ET ICONOGRAPHIE DANS L’ART RELIGIEUX

 

 

Les origines du symbolisme sont très anciennes et remontent à la préhistoire.

 

 L'empreinte de la main d'un homme sur le flanc d'une bête

 est le geste symbolique de la possession.

 Dans l'art égyptien,

bien avant l'apparition de l'art chrétien, tout prend une valeur symbolique;

 

ainsi le sphinx à tête d'homme, à pattes de lion, à croupe de taureau, aux ailes d'aigles, symbolise les 4 éléments; leur croix ansée est le signe d'une vie éternelle, comme le scarabée-amulette est l'emblème de la résurrection.

 

Il en est de même dans la mythologie grecque où chaque dieu ou déesse symbolise une chose ou une action. L'arc  d'Artémis est l'image de la lune.

 

Les catacombes seront un exemple chrétien du symbolisme, agneau, poisson, ancre

 

Le Moyen-Age ramène,  ou s'accapare tout,  l'histoire, la nature, les héros,

même les héros de l'A.ncienTestament.

 

 

Les animaux réels ou chimériques sont interprétés comme des symboles christologiques.

 

L'église, édifice, est symbole du Christ cloué sur la croix,

 

c'est pourquoi le plan basilical

se transforme par adjonction de deux bras: les transepts.

Elle prend; un plan cruciforme.

 

 Le XIXe siècle ne l'a pas toujours appliqué. Probablement ,

du moins pour certaines, pour une question de crédit, mais aussi de facilité.

 

 Il faut voir que ces édifices au XVe, XVIe, ont été construits au fur et à mesure

des ressources.

 

D'abord l'axe central, nef et choeur

puis les  bras de la croix l'un après l'autre.

 mais il arrive parfois qu'un seul existe.

D'où proviennent les ressources?

 

Elles viennent des donateurs; souvent des nobles et seigneurs locaux.

 

 Ils prennent en charge une participation à la construction et plus tard à l'entretien.

 

 

Cette participation leur donnera un certain  droit de propriété

.

de nombreux procès émailleront au cours des siècles leur rapport avec le clergé et les autres seigneurs. Ces procès pourront durer des siècles. 

 

L'orientation des églises;

 

A de rares exceptions, elles sont orientées, c'est-à-dire que leur chevet est tourné vers l'est, du côté du soleil levant. Cet usage se généralise à partir du IVe siècle.

 

C'est un souvenir des cultes solaires, etde l'antique adoration du soleil levant;

 

En Egypte et en Grèce, les fidèles se tournaient vers l'Orient pour adorer le dieu du Soleil; Morts ils se faisaient inhumer face à l'astre.

 

Dans le christianisme, le soleil n'est plus adoré comme un dieu

 mais reste symbole du Sauveur.

 

Il faut ajouter aussi que l'Orient est, en même temps que la source de la lumière,

la direction de Jérusalem.

 

C'est aussi la direction de La Mecque vers laquelle s'oriente le mihrab ( niche placée au milieu du mur du fond) des mosquées. Il indique, comme l'autel des églises,

le point de direction des prières.

 

Si les musulmans prennent grand soin d'étendre leurs nattes et tapis de prières en direction de La Mecque, les chrétiens ne croient plus que le Dieu qu'ils adorent habitent le Sinaï ou Jérusalem. Ils le considèrent comme omni présent et leurs prières  arriveront bien à destination qu'ils se tournent vers le nord ou vers le sud. Dès le IXe siècle, il a été formulé qu'il n'y avait aucune raison de se tourner dans un certain sens pour prier.

 

Mais bien qu'elle ait perdue, depuis lors, sa raison d'être, l'orientation des lieux de culte est une règle que l'Eglise n'a pas abolie.

 

Si l'Orient est considéré comme le symbole du Paradis, l'Occident ou Est  est lui considéré comme de royaume des ténèbres, de la mort.  Souvent le mur de ce côté présentera un Jugement Dernier.

 

Le Nord est la région des frimas et de l'obscurité, il est voué à Satan, au règne de la Loi. Le Sud, Le Midi d'où viennent la chaleur et la lumière évoque l'idée du Christ Sauveur.

 

Ceci s'explique en outre parce qu'en entrant les fidèles ont, en entrant dans l'église, le nord à leur gauche et le sud à leur droite. La gauche a toujours été réputée de mauvais augure. Le mot sinister a donné en français le doublet senestre-sinistre. La dextre a toujours occupé la place d'honneur

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 08:58

SYMBOLISME  ET ICONOGRAPHIE DANS L’ART RELIGIEUX

 

 

Les origines du symbolisme sont très anciennes et remontent à la préhistoire. L'empreinte de la main d'un homme sur le flanc d'une bête est le geste symbolique de la possession. Dans l'art égyptien, bien avant l'apparition de l'art chrétien, tout prend une valeur symbolique; ainsi le sphinx à tête d'homme, à pattes de lion, à croupe de taureau, aux ailes d'aigles, symbolise les 4 éléments; leur croix ansée est le signe d'une vie éternelle, comme le scarabée-amulette est l'emblème de la résurrection. Il en est de même dans la mythologie grecque où chaque dieu ou déesse symbolise une chose ou une action. L'arc  d'Artémis est l'image de la lune.

 

Les catacombes seront un exemple chrétien du symbolisme, agneau, poisson, ancre

 

Le Moyen-Age ramène,  ou s'accapare tout,  l'histoire, la nature, les héros, même les héros de l'AncienTestament. Les animaux réels ou chimériques sont interprétés comme des symboles christologiques.

 

L'église est symbole du Christ cloué sur la croix, C'est pourquoi le plan basilical se transforme par adjonction de deux bras, les transepts. Elle prend un plan cruciforme. Le XIXe siècle ne l'a pas toujours appliqué. L’église Sainte-Claire de Penhars en est un exemple. Probablement question de crédit, mais aussi de facilité.

 

 Il faut voir que ces édifices au XVe, XVIe, siècles, ont été construits au fur et à mesure des ressources. D'abord l'axe central, puis les  bras de la croix l'un après l'autre. Il arrive parfois qu'un seul soit fait.

 

Les ressources sont les donateurs; souvent les nobles et seigneurs locaux. Ils prennent en charge une participation à la construction et plus tard à l'entretien. Cette participation leur donne un certain  droit de propriété. de nombreux procès émailleront au cours des siècles leur rapport avec le clergé et les autres seigneurs , et ces procès pourront durer des siècles.

 

L'orientation des églises;

 

A de rares exceptions, elles sont orientées, c'est-à-dire que leur chevet est tourné vers l'est, du côté du soleil levant. Cet usage se généralise à partir du IVe siècle.

 

C'est un souvenir de cultes solaires, de l'antique adoration du soleil levant; en Egypte et en Grèce, les fidèles se tournaient vers l'Orient pour adorer le dieu du Soleil; morts ils se faisaient inhumer face à l'astre.

 

Dans le christianisme le soleil n'est plus adoré comme un dieu mais reste symbole du Sauveur. Il faut ajouter aussi que l'Orient est, en même temps que la source de la lumière, la direction de Jérusalem.

 

C'est aussi la direction de La Mecque vers laquelle s'oriente le mihrab ( niche placée au milieu du mur du fond) des mosquées. Il indique, comme l'autel des églises, le point de direction des prières.

 

Si les musulmans prennent grand soin d'étendre leurs nattes et tapis de prières en direction de La Mecque, les chrétiens ne croient plus que le Dieu qu'ils adorent habitent le Sinaï ou Jérusalem. Ils le considèrent comme omni présent et leurs prières  arriveront bien à destination qu'ils se tournent vers le nord ou vers le sud. Dès le IXe siècle, il a été formulé qu'il n'y avait aucune raison de se tourner dans un certain sens pour prier.

 

Mais bien qu'elle ait perdue, depuis lors, sa raison d'être, l'orientation des lieux de culte est une règle que l'Eglise n'a pas abolie.

 

Si l'Orient est considéré comme le symbole du Paradis, l'Occident ou Est  est lui considéré comme de royaume des ténèbres, de la mort.  Souvent le mur de ce côté présentera un Jugement Dernier.

 

Le Nord est la région des frimas et de l'obscurité, il est voué à Satan, au règne de la Loi. Le Sud, Le Midi d'où viennent la chaleur et la lumière évoque l'idée du Christ Sauveur.

 

Ceci s'explique en outre parce qu'en entrant les fidèles ont, en entrant dans l'église, le nord à leur gauche et le sud à leur droite. La gauche a toujours été réputée de mauvais augure. Le mot sinister a donné en français le doublet senestre-sinistre. La dextre a toujours occupé la place d'honneur

 

Dans les Crucifixions, la Vierge est à  la droite du Christ, elle symbolise l'Eglise, saint Jean à gauche, la synagogue, soit l'ancien testament. Dans les jugements derniers les Elus sont placés à la droite du juge et les réprouvés à la gauche. Dans la nef des églises, les hommes occupent la droite, les femmes considérés comme des inférieures sont du côté gauche. On le voit encore particulièrement aux enterrements.

 

Ceci n'est  valable que pour notre hémisphère. Ce symbolisme chrétien n'est plus valable ou applicable au sud de l'équateur.

 

Continuons encore sur  le côté symbolique du Nord et du Sud. Dans la décoration des églises, fresques, vitraux, sculptures, le Nord est réservé à l'Ancien Testament, et le Sud au Nouveau Testament.

 

Autre symbolisme, les fonds baptismaux,  ils doivent être placé du côté nord de l'église car la Nord est la région des ténèbres où sont plongés les néophytes avant la purification du baptême. le 8, symbolise la renaissance par le baptême et la résurrection; les baptistère ont souvent une forme octogonale

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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 16:41

    

 

Auray  Morbihan         

 

Eglise paroissiale Saint-Gildas 1623-1641

 

 Au XIX° siècle:

 

" Elle  possède à l’une de ses fenêtres des restes de vitraux anciens,  qui remontent au XV°siècle mais on ne distingue que des  fragments divers de personnages ,ainsi que des dessins d’architecture."

 

Auguste André,page 166 de sa brochure "de la verrerie et des vitraux peints dans l'ancienne province de Bretagne," Rennes 1878

 

 AU XX° siècle

"Vitraux modernes retraçant la vie de St Gildas"

 

Guides bleus de Bretagne, 1959 page 536

 

 

Chapelle Notre-Dame

 

( «Son architecture gothique annonce qu'elle a été construite vers le XII° siècle.

Elle offre deux curiosités dignes de remarque: la première est ses vitrages peints et parfaitement conservés qui représentent, dans neuf Grandes croisées toute la vie du Christ" 

Nouveau dictionnaire de Bretagne page 54, tome 1. 1845.

 

Eglise Saint-Charles de Blois, 1930 Caubert, architecte

 

1888, vitraux figuratifs de l'atelier de Julien Fournier,deTours , 1 baie sur la Nativité.

du XX°siècle,Vitraux de l'atelierle Nezet

 

Eglise Saint-Sauveur, XV°xix°

 

Eglise de Saint-Goustans,

1888. Vitraux figuratifs de atelier de Julien FournierdeTours,dans 7 baies,

la baie du chevet, est une adoration des Mages,

baie 1, la première à gauche en partant du chevet: les Noces de Cana,

baie2,  la première à droite en partant du chevet, Saint Pierre et les apôtres, baie 8  . . . , baie 10, saint François et les oiseaux,

baie 13, Baptême du Christ,

 

 

 

 

Eglise Saint-Gildas d’Auray, XVIIe1623-1641

Vitraux modernes retraçant la vie de Saint-gildas

Atelier Rault de Rennes, date inconnue XX°siècle

 

 

Chapelle de Kergornet

Michel Guével, vitrail choeur.XX°

 

Chapelle Saint-Cado (I.S) 

                        

 

Eglise Saint-Sauveur, XVe.

 

Eglise de Saint-Goustans,

 

DIA N° 240

 J. Fournier, 1888, , FIG, 7 baies,

baie 0, adoration des Mages,

baie 1, les noces de Cana,

baie 2, saint Pierre et les apôtres,

baie 8. . . ,

baie 10, saint François et les oiseaux,

baie 13, Baptême du Christ,

  

 

 

Chapelle de la Commanderie. ©

 Travaux  maçonnerie. 1994-1998

 

Chapelle de Kergornet

 

 atelier Michel Guével, vitrail choeur.

 

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 09:32

St-Pol-Kreisjer-DIA20-PL4b-C.JPG


Inventaire des communes du Finistère possèdant  au milieu du XVII°siècle des vitraux avec prééminences.

 

Avec  ces Préminences le seigneur   présente  ainsi un supériorité de rang  parfois sur les autres seigneurs, Il se mèle aussio une supériorité des droits et de dignité  Le seigneur ,c'est lui le donateur du vitrail ou de l'église avec la charge de l'entretien.

 

Pour la plus grande partie, l'auteur en est le peintre vitrier  Claude Bourriquen.habitant Saint Pol de Léon , et était le fils de François

Dans une grande  majorité ces vitraux  portent les armoiries du seigneur De Carman.

Les sujets des vitraux accompagnant les armoiries de ces prééminences sont le plus souvent: 
dans les baies importantes: qui sont les Passions:

Que l'on trouve à Kernilis en 4 lancettes. A Lanhourneau. avec 9 panneaux en 3 lancettes. A Morlaix Saint-Dominique. APlabennec sur 4 lancettes.APlounéour-Trez, ATrézilidé,en 3 panneaux de vitraux.ATrémaouézan, 5lancettes,ce vitrail est semblable à celui de La Roche Maurice.

les Crucifixions, Berven Kersaint-Plabennec 1lancette.Trézilidé 3lancettes.Plouédern 1 lancette, Plouescat,chapelle de Kerezean 3 lancettes. Le Folgoët,3 lancettes. Lesquelen 3 lancettes. Plounéour-trez 3 panneaux,

  Ces prééminences sont accompagnées  quasiment partout  des effigies des donateurs et de leur saint patron:

Autres sujets:


L'Annonciation: Plabennec Lesquelen. 2 lancettes

La Dormition de Marie:  Plabennec Lesquelen.


La Pieta  Lanhouarneau. Plabennec chapelle de Locmaria. Plounevez-Lochrist.


 Les Lieux:

Berven, en la chapelle Notre-Dame de Berven
Kernilis, en l'église paroissiale en la grande vitre.-

Kersaint-Plabennec,- en la grande vitre de l'église paroissiale.
Landéda, en la grande vitre.
Lanhouarneau,église Saint-Hervé, maîtresse vitre. vitre du côté de l'épître, au pignon Sud et chapelle Saint-Laurent
L<octudy, église

Morlaix,Couvent Saint-François de Cuburien dit Saint-Dominique en la chambre de Mr de Carman, deux fenêtres du côté de la main droite. Dans la librairie? côté main gauche  deux vitres. Au dortoir, en la grande vitre

-Plabennec , église paroissiale en la grande vitre. ChapelleNotre-Dame de lesquelen, détruite fin XIX°. Elle possèdait  des vitraux avec armoiries dans la grande vitre du pignon sud ainsi que les vitres des côtés épitre et évangile.  vitreNotre-Dame de Locmaria-lan en la grande vître.

Plomelin, chapelle de Kerdour.

 Plouédern-

Plougar -

 Plouzévédé -

 Plouénan, église paroissiale,  vitre du choeur, chaoelle deNotre-Dame de Kerellon -

Plouescat Chapelle Notre-Dame de Kerzéan,  en la grande vitre.Saint-Laurent -

 Plounéour-Trez -  église, maîtresse vitre,

Plounévez Lochrist , église priorale, en la chapelle  Saint-Sébasien, en la chapelle de madame Sainte-Anne. chapelle Notre- Dame de Kermeur -et vitre de la chapelle Saint-Sébastien.

 Plouvien -
chapelle de Monsieur Saint Jean de Balaznant, deux vitres du côté dz l'évangile. et de l'autre côté.
 Roscoff -

 Saint-Pol, 

St-Pol-Cath-DIA17-PL3-C.JPGNotre-Dame St-Pol-Cath.-DIA16-PL8b-C.JPGdes Carmes,St-Pol-Cath-DIA-19-PL-4-C.JPG

en la grande vitre. Saint-Pierre,

 Le Kreisker, Notre-Dame,en la maîtresse vitre, ainsi qu'à la chapelle de Saint-Louis

Sibiril, chapelle de Notre-Dame de Pontchrist, en la grande vitre.

Trémaouézan -église tréviale, maîtresse vitre.

 Trézilidé.ancienne trêve de Treflaouènan, en l'église paroissiale,la grande vitre. idem en la chapelle de Sainte-Anne et chapelle de Sint-Antoine.

Quimper, église Saint-Mathieu, au-dessus de la grande porte.

Quimper, chapelle des Trépassés-Quimper, église Saint-François- salle et réfectoire des Cordelliers, Notre Dame du Guéodet

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 17:08
Gouesnou-Le-Chevallierw-copie-1.jpg

 Nous essayerons de les présenter dans un certain lordre:

creation-guiscriffwdilasser.jpgUne des créations de François Dilasser  à la chapelle Saint-Maudez  en Guiscriff, 56, en 1995et1998 avec l'atelier jean-pierrele bihan, 

De ce dernier, une baie de l'église

Langoélan d' Hubert de Sainte-Marie.  Locmaze Férokenko. Douarnenez, Alain Béraud, Marie Le Bihan;
pontivy-Notre-Dame-de-Joie.JPG

creation-guiscriffwdilasser.jpgpuis
celle d'Hung Rannou à la chapelle Notre-Dame de Kerdevot , huit vitraux de trois lancettes

en Ergué gaberic, 29, avec l'atelier jean pierre le bihan.

Suit Antoine Le Bihan avec un élément des vitraux de Lavau sur Loire.

A Gouesnou en l'église  Saint-Gouesnou, la verrière du chevet,
une Passion de Jacques Le Chevallier. 

A Merlévenez,  Morbihan,en l'église Notre-Dame de -la-Joie, yn des vitraux de Jean-<jacques Gruber en collaboration avec Josette Mahusier et Jeannette Weiss-GruberWeb0002-Gruber-merlevenez-b.jpg



Gouesnou-Le-Chevallierw.jpg




SuLavau-sur-Loire-antoineW.jpgKerdevot--94--baieRannou-Hu.jpg

Projet-Pontivy--St-Joseph.JPG
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