16 octobre 2007
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CAST VITRAUX DISPARUS
Eglise Saint-Jérome , édifice du XVI° et XVIII ième
Le dictionnaire des églises de France signale une Passion, il s’agit d'une erreur,c'est probablement celle de la chapelle deQuillidoaré.
Dans la troisième baie du côté nord, restes de vitrerie du XVIIIe. on pouvait relever jusqu’à ces derniers temps des œuvres mineures du XVIIIe siècle. Il s’agissait de vitrerie, sous plombs et incolores, toutes simples. La date semble correspondre entre autre à des travaux de maçonnerie sur le bras droit du transept dont l’architecture du réseau est très proche du réseau du côté sud de Guengat, exécuté en 1708.
Chapelle de Saint-Génite, détruite au XIXième siècle
De la chapelle d’origine, il ne restait avant sa destruction, comme vitraux d’origine que, semble-t-il la verrière du Chevet, une Vie de la Vierge avec la Nativité et quelques écoinçons et soufflets dans les baies du transept. Et encore on ne peut l’affirmer car ces derniers panneaux furent coupés à une époque indéterminée. Il est signalé que Le grand vitrail s’est écroulée sur l’autel, en 1840.Le transport à Quillidoaré, des éléments récupérés eut lieu semble-t-il à la même date.BSAF 1909.
Les historiens, Peyron et Abgrall, parlent de restes de vitraux avec Adoration des Mages et Madeleine. Ils ont dû disparaître depuis. De Peyron et Abgrall on peut être sûr. Qu’en reste-t-il à l’heure actuelle ? Un saint, des armoiries, des anges d’une Nativité, les uns portant un phylactère,un dernier appuyé sur une possible mangeoire de la crèche.
Chapelle de Quillidoaré.
La présence dans les écoinçons des baies 1,2,4,6, d’un personnage, évêque,saint, roi mage ?, de blasons et d’anges de la Nativité, au nombre de quatre, indiquent la perte de vitraux du XVIe siècle. Il en est de même dans la verrière du chevet, une Passion, où certains panneaux de vitraux, d’autres provenances ont été incorporés.
,par la suite je mettrais dans le blog, un rapport plus complet sur les vitraux de cette chapelle.