les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
HISTOIRE DU VITRAIL.
Une tradition venue avec les premiers hommes et ceux de toutes les civilisations était de donner une décoration la plus riche aux lieux et objets deculte. Ils nous semblerait que nos ancêtres cherchaient a y a insérer ainsi une sacralisation,
Puis vient l’aire des cathédrales où cette coutume millénaire se perpétue et évolue suivant les modes
Après les tailleurs de pierres, et autres corps de métiers d’art, vint le temps des verriers. Ces artisans avaient toujours et ont encore, je l’espère, un travail liant la beauté de l’œuvre à la divinité.
Les verriers du XII°siècle affirmaient une conviction religieuse personnelle, ce qui ne fut pas le cas semble-t-il au XIX° siècle ou l’église semble abandonner le prolétariat pour une classe possédante qui ; » récitait un catéchisme dont ils ne croyaient pas un mot ». L’influence de l’église » JeanRollet, Les Maîtres de La Lumière, p.15
La technique est alliée à celle du verre qui remonte à la plus haute antiquité, au III°millénaire Le verre était fabriqué en Mésopotamie et Proche Orient. Le départ de ce matèriaux en est dû au soufflage du verre plat en feuilles et ce dès le début du Premier siècle de l’ère chrétienne. Puis devenu un succès romain, à l’époque où les lieux publiques comme les thermes, basiliques , riches demeures, etc. Ces verres étaient enchassés dans des claustras, bois, stuc . Par la suite le vitrail dit arabe se répand en Occident et particulièrement autour du bassin de la Méditerranée Dans les plus ancien vitraux conservés au Caire, deuxième moitié du Treizième siècle, les verres sont posés du côté extérieur de la claire-voie avec des baguettes de plâtre, par la suite on s’en vint à couler du plâtre entre les verres posés devant chaque ouverture.
Les plus anciens vitraux. A l’époque byzantine Procope de Césarée décrit les verres de Sainte Sophie de Constantinople. De Saint-Vital Ravenne il est conservé trois fragments de verre sur les quels étaient peintes la scène du Christ bénissant des personnages qui peut être datée du milieu du VI° siècle.
Pour l’emploi du plomb pour assertir les verres peints, on ne peut connaître l’époque
La disparition de beaucoup de vitraux anciens en Bretagne est intervenue aux XIX°siècle, car les édifices, telles que les chapelles rurales, ont souvent été abandonnées ce que relèvent des historiens tels Chanoine Abgrall ,fernand Guey, Couffon ,JeanLafond. Les vestiges des oeuvres du XV°et XVI° siècles ont été laissées dans un état pitoyable.
Une explosion de la sensibilisation de ce patrimoine est arrivée dès le début du XX° siècle jusqu’aux communes, aux paroisses ainsi qu’à l’Etat avec les démarches de certaines personnes sensibles à cet abandon .