les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
DES ARTICLES DE PRESSE DUNE EPOQUE ANCIENNE , ont replongé beaucoup de lecteurs du Moulin-Vert et Quimpérois dans des souvenirs plus ou moins douloureux et parfois épiques qu'ils gardent des contacts avec les sangsues que l'on rencontrait tout au long des rives du Steir.
De nombreux endroits étaient des lieux de baignades, il y a de celà plus de quelques cinquantes ans.
En plus du maillot de bains, il ne fallait surtout ne pas oublier la boite d'allumettes Seita dont la flamme nous permettait, lorsque nous étions sur l'herbe, de décrocher ces suceusses de nos jambes. Un pochon était certes aussi le bienvenu.
Et lorsquela récolte était bonne, on montait ( ou on descendait) j'en étais en ville à la pharmacie Clouard non loin de la Cathédrale qui nous les achetait pour quelques sous percés.
Nous avions de 8 à 12 ans et c'était une vraie expédition et nos galoches tintaient joyeusement sur les pavés de la rue Kéréon
Mais après quelques petits larcins ou bétises, comme tous les gosses sont capables de le faire, il nous est jamais arrivé de chercher une cache dans le lit de cette rivière, en attendant que les parents se calment.
Il y avait alors assez de coins, d'arbres, et de talus.
Il fallu atttendre 1995 pour que quelqu'un aie eu cette idée et rester près d'une heure, allongé dans l'eau malgré les morsures des sangsues
"Arrêté par des sangsues ont titré les journaux" et Les policiers n'ont pu l'entendre sur le champ
Raconter cette expérience à des petits enfants. C'est une autre histoire.!
Cette rivière était quand même le bon temps car les plages de sables étaient éloignées et les bus n'existaient pas ou si'ils existait, les quelques sous du pharmacien ne suffisaient pas.
echo de la butte