les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
L'inventaire de 1684 révèle à lhistorien quimpérois Julien Trévedy qu'il ne restait plus à Quimper, à cette époque que trois canons de trois livres de boulets.
Cet ancien président du tribunal civil de Quimper et vice président de la Société Archéologique du Finistère 5130-1908 ne trouve pas dans les autres délibérations que la commune ait fait folie d'e,n acheter d'autres;
" Trois canons! continue-t-il, "c'est assez pour faire du bruit un jour de réjouissances publiques. Mais la communauté semble un peu hontesse de sa pénurie: "on dirait qu'elle veut la déguiser; souvent elle écrit dans ses délibérations que tout le canon sera tiré"
TOUT LE CANON! Ce mot fait illusion; La postérité va croire qu'il s'agit de npùbreuses pièces en batterie sur le Parc; châteaux ou Place aux canons, jusqu'à ce que vienne un désoeuvré , on curieux malavisé qui mette au jour l'inventaire de 1684"
Plud de cente ans parès, en 1791, on retrouva ces trois vieux canons fidèles au poste.
Le 16 janvier de cette année, on les essaie, et ils partent avec un plein succés".
Depuis ils ont tonné joyeusement pour Marengo et pour Austerlitz, comme ils avaient tonné pour Rocroy, Lens et Fontenoy.. Puis leur voi s'st tue pour toujours"
Reconnues impropres même au service d'honneur qu'ils avaient autrefois rendu, les vieux canons furent remplacés par de plus jeunes
qui furent déposés sur le quai du bout du Bout duPont, en face de Locmaria.
Monsieur Trévédy après s'être informé voie deux d'entre eux bien plantés ainsi qu'à demi enfonés dans le sol, et celà pour serveir de bittes d'amarage. Le troisième se repose sur le chemin du halage.
Sur le même chemin sont plantés de distance en distances une vingtaine de canons de fer qui ont la même destination.Ils paraissent contemporains des premiers, mais ne semblent pas leurs compatriotes.
Suivant une tradition ils seraient sdes ennemis apportés par des "Corsaires Quimpérois...
Mémoire de Penhars et Echo de la Butte n° 209