les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
ARMOIRIES.
1455, Statuts de Tréguier. Preuves II. 1526.
Des nobles et des marchands de nos cités et en notre diocèse font poser dans les vitres des églises et des chapelles armoiries et insignes soit par dévotion, soit par ambition et vanité. Ils prétendent de ce fait que la vitre leur appartenir à eux et à leurs héritiers. Par les présents statuts nous déclarons que cela ne leur donne aucun droit de propriété sur ces fenêtres, pas plus que sur les tombes ou autres endroits des églises et chapelles.
1481, Pierre du Chaffaut, évêque de Nantes. « Il y en a qui osent avoir la présomption de faire peindre de toutes manières les écussons de leurs armes sur les vitraux des fenêtres des églises. C’est une honte et une ignominie qu’une semblable injure à Dieu. Nous défendons à qui que ce soit, sous peine d’une sentence d’excommunication et de mille livres de monnoie courante applicables à nos aumônes, de faire peindre en couleur ses armoiries dans les églises, sans en avoir reçu préalable reçu de nous l’autorisation. Auguste André, p. 237.
1499. Ordonnances synodales de Raoul Le Moël au sujet de l’invasion dans les chapelles des armoiries. Il faudra donc une autorisation de l’évêque – le consentement – du recteur et des paroissiens et consentir un don. Folio 34, recto.
Les Origines des armoiries.
Au XIIe siècle, les nobles et les chevaliers commencent à s’identifier, eux et leur équipage, notamment leurs boucliers, en usant de symboles simples aux formes nettement définies et de couleurs contrastées.
Lorsqu’au XIIe siècle apparaît le grand heaume, casque fermé qui cache entièrement le visage, les symboles héraldiques exercent une fonction pratique : ils facilitent l’identification des guerriers sur le champ de bataille.
Le choix de l’emblème par lequel un chevalier désire se faire reconnaître se borne à l’évocation de certains caractères animaux tel ; férocité, noblesse, ruse ou rapidité. C’est ainsi que le bouclier, qui allait devenir plus tard la pièce principale des armoiries, en arrive à être chargé, ou décoré de sujets héraldiques d’une grande variété et d’une complexité presque infinie qui vont des bêtes réelles ou mythiques, aux armes de guerre.
Les Origines des armoiries.
Au XIIe siècle, les nobles et les chevaliers commencent à s’identifier, eux et leur équipage, notamment leurs boucliers, en usant de symboles simples aux formes nettement définies et de couleurs contrastées.
Lorsqu’au XIIe siècle apparaît le grand heaume, casque fermé qui cache entièrement le visage, les symboles héraldiques exercent une fonction pratique : ils facilitent l’identification des guerriers sur le champ de bataille.
Le choix de l’emblème par lequel un chevalier désire se faire reconnaître se borne à l’évocation de certains caractères animaux tel ; férocité, noblesse, ruse ou rapidité. C’est ainsi que le bouclier, qui allait devenir plus tard la pièce principale des armoiries, en arrive à être chargé, ou décoré de sujets héraldiques d’une grande variété et d’une complexité presque infinie qui vont des bêtes réelles ou mythiques, aux armes de guerre.
Les Origines des armoiries.
Au XIIe siècle, les nobles et les chevaliers commencent à s’identifier, eux et leur équipage, notamment leurs boucliers, en usant de symboles simples aux formes nettement définies et de couleurs contrastées.
Lorsqu’au XIIe siècle apparaît le grand heaume, casque fermé qui cache entièrement le visage, les symboles héraldiques exercent une fonction pratique : ils facilitent l’identification des guerriers sur le champ de bataille.
Le choix de l’emblème par lequel un chevalier désire se faire reconnaître se borne à l’évocation de certains caractères animaux tel ; férocité, noblesse, ruse ou rapidité. C’est ainsi que le bouclier, qui allait devenir plus tard la pièce principale des armoiries, en arrive à être chargé, ou décoré de sujets héraldiques d’une grande variété et d’une complexité presque infinie qui vont des bêtes réelles ou mythiques, aux armes de guerre.
début les premières armories sont très simples portant un emblème unique, mais le besoin de mettre plusieurs sujets sur le même écu oblige forcement à le diviser en plusieurs espaces.
En termes héraldiques la surface de l’écu des armoiries s’appelle le champ ; c’est un émail, un métal ou une fourrure appelés collectivement sous le nom de couleurs. Les symboles héraldiques devant se reconnaître de loin et dans une bataille, on emploie sur les boucliers des couleurs fortes et franches, comme le rouge orangé dit Gueules, le bleu dit azur, le vert dit sinople, le noir appelé sable et le banc argent. Sable, violet, pourpre. Les fourrures, l’hermine et le vair. Le terme de fourrure vient probablement parce que les boucliers étaient de peaux
le lion est décrit passant ou rampant
L’aigle est éployé.
La merlette, la fleur de lys, le quintefeuilles, la molette et la rose sont utilisés pour indiquer le rang familiale.
début les premières armories sont très simples portant un emblème unique, mais le besoin de mettre plusieurs sujets sur le même écu oblige forcement à le diviser en plusieurs espaces.
En termes héraldiques la surface de l’écu des armoiries s’appelle le champ ; c’est un émail, un métal ou une fourrure appelés collectivement sous le nom de couleurs. Les symboles héraldiques devant se reconnaître de loin et dans une bataille, on emploie sur les boucliers des couleurs fortes et franches, comme le rouge orangé dit Gueules, le bleu dit azur, le vert dit sinople, le noir appelé sable et le banc argent. Sable, violet, pourpre. Les fourrures, l’hermine et le vair. Le terme de fourrure vient probablement parce que les boucliers étaient de peaux
le lion est décrit passant ou rampant
L’aigle est éployé.
La merlette, la fleur de lys, le quintefeuilles, la molette et la rose sont utilisés pour indiquer le rang familiale.
début les premières armories sont très simples portant un emblème unique, mais le besoin de mettre plusieurs sujets sur le même écu oblige forcement à le diviser en plusieurs espaces.
le lion est décrit passant ou rampant
L’aigle est éployé.
La merlette, la fleur de lys, le quintefeuilles, la molette et la rose sont utilisés pour indiquer le rang familiale.
début les premières armories sont très simples portant un emblème unique, mais le besoin de mettre plusieurs sujets sur le même écu oblige forcement à le diviser en plusieurs espaces.
En termes héraldiques la surface de l’écu des armoiries s’appelle le champ ; c’est un émail, un métal ou une fourrure appelés collectivement sous le nom de couleurs. Les symboles héraldiques devant se reconnaître de loin et dans une bataille, on emploie sur les boucliers des couleurs fortes et franches, comme le rouge orangé dit Gueules, le bleu dit azur, le vert dit sinople, le noir appelé sable et le banc argent. Sable, violet, pourpre. Les fourrures, l’hermine et le vair. Le terme de fourrure vient probablement parce que les boucliers étaient de peaux
le lion est décrit passant ou rampant
L’aigle est éployé.
La merlette, la fleur de lys, le quintefeuilles, la molette et la rose sont utilisés pour indiquer le rang familiale.
début les premières armories sont très simples portant un emblème unique, mais le besoin de mettre plusieurs sujets sur le même écu oblige forcement à le diviser en plusieurs espaces.
La merlette, la fleur de lys, le quintefeuilles, la molette et la rose sont utilisés pour indiquer le rang familiale.
Prééminences de Carman, conservé au château de la Ryais en Meneac, (56) 1930.
1892. Fréminville.
Inventaire des lieux possible possèdant de ces armoiries.
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