les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
Pour observer les tirs dans les lignes ennemies, deux officiers artilleurs du front de Lorient s' envolent del'aéroport de Meucon à 11heures et rentrent .à 12heures 20
De haut, ils relèvent qu'ils ont vu les communes de Sainte Anne, Auray, et toute la cote.
Au dessus des positions des deux camps, ils ont
tournés, retournés, attendant le déclanchement des tirs autant français qu'allemand qui ne venaient pas.
En désespoir de cause, ils prennent de la hauteur, et
survolent ces lignes. Ils voient, Hennebont, Lorient qui brillaient sous un soleil radieux.
Tout était calme.
Quand ilspassent sur Auray, ils reçoivent le fin mot de l'égnime:
Il était interdit de tirer depuis 10heures;
LE RETOUR AU commandement et la fête
La soirée de ce 8mai fut fort bien réussie pour eux deux, et ils furent content car ils l'avait misée et avait peur d'être vexé.
La fille des propriétaires des lieux fut invitée d'allumer un V et une croix, les deux faits avec de la poudre.
Il avait été préparé un feu de camp sur une grande pelouse près du PC.
Les invitations avaient été lancées à toutes les fermes des environs de Landévant,
Il y eu environ 450 personnes.Entre-autres des américains vosins sont arrivés, attirés comme les moustiques, ayant vu les papillons du feu de camp
La Fête commença à 9heures 45. Le commandant fit un petit laîus
Il avait été demandé de ranger tout ce monde en cercle. puis ia fille d'un des propriétaires des lieux fut invitée à allumer un V et une croix , les deux exécutés avec de la poudre.
A l'extrémité d'une des branches du V se trouvait le feu de camp, fait de lande et fagots. Il s'est allumé automatiquement. La Marseillaise est chantée.
Des pourparlers sont en cours.
Après le diner, il est proposé une scéance de Cinéma à laquelle une partie des soldats doivent aller.
A 6 heures déja, le bruit court que Lorient se rendait, à 19h 15 toutes les cloches des environs sonnent. la joie est dans l'air. Les soldats chantaient:" je suis le roi d'Espagne, avec des paroles adaptées pour les artilleurs. et cela digneLeur commandant n'était pas peu fière
Dans le bourg,il y avait déjà du vent dans les voiles chez les fantassins
Les hommes arrivaient très dignes pour la scéance en colonne par colonne en chantant" je suis le roi d'Espagne;"
Après le diner, il y eu une séance de cinèma à laquelle les officiers devaient aller avec une partie des hommes.
Pendant la scéance, vers 22 heures ils apprennent que la fin des hostilités sur Lorient aurait lieu et qu' elle serait éffective à 24 heures.
Les soldats s'y attendaient depuis longtemps déjà et pourtant ne réalisaient pa encore tout que cela pouvait signifier.
Les artilleurs étaient heureux mais sans exulter Ils pensaient à tous ceux qui n'ont pas connu ce jour ou qui le passe loin des leurs.
Vers miniut le cinéma fut terminée les hommes d'une batterie rentraient en chantant en choeur le long de la route jusqu"au cantonnement.
Là les hommes qui n'avaient été au cinéma avaient dèja organisés une petite fête de famille: un fermier qui jouait de l'accordéon faisait dancer les hommes et les jeunes filles des fermes, en bretonnes évidemment
il n'y eu pas de beuverie. Ensuite un nouveau feu de camp est monté avec des chants et danses, ce qui dura jusqu'à 2heures du matin.