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les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.

La Colaboration des artistes et du Clergé

COLLABORATION ARTISTE CLERGE

 

 

 

L'ab 787.  Concile de Nicée.

«  la composition des images religieuses n’est pas laissée à l’initiative des artistes.

 

 

Elle relève des principes posés par l’église catholique et de la tradition religieuse..

 

« L’art seul appartient au peintre, l’ordonnance et la disposition aux Pères »

 

Emile Mâle pense que, malgré la culture que pouvait posséder certains artistes du Moyen Age, ils ne pouvaient composer des vitraux d’une théologie très poussée et possédant une très solide instruction doctrinale.

 

De plus les artistes sont considérés comme de simples artisans et même comme de simples ouvriers, travaillant du soleil levant au couchant. Lors de son mariage en 1384, un maître d’œuvre se voit défalquer 1 jour sur son salaire pour son absence.

 

De l’autre côté, chez les clercs et surtout dans les chapitres des cathédrales se trouvaient les maîtres les plus éminents. L’abbé Suger en est l’exemple.

 

D’après Emile Mâle, l’église du XIIe jusqu'à la Renaissance n’a jamais relâché la surveillance qu’elle croyait devoir exercer sur les œuvres d’art.

Pour plus de détails, Emile Mâle p, 486, L’art religieux au M.A.

 

Cependant cette collaboration entre clergé et artistes lors de la création a été sûrement nécessaire, mais la clergé était plutôt un guide qu’un censeur. L’évangile n’était pas suivi à la lettre. Les traditions locales prévalaient, les donateurs  étaient puissants.

 

Cette époque a existée  jusqu'au XX° siècle.  Certes il existe encore des  personnes qui veullent être donateurs mais ils se heurtent  souvent aux commissions d'Art Sacré, aux Monuments historiques, aux mairies. etc Ce n'est pas toujours un mal pour la création et l'édifice.  Celui qui en  pati c'est l'artiste,  puis l'atelier. PENCRANw

 

Le vitrail création du Finistère1963 1983: les commenditaires

 

Iy eut semble-til deux époques, 1963-1975

 

où la toute puissance de l'Evêché s'exercait dans le choix de la comande du peitre verrier. Bien avant 1960, l'évêque et le chanoine Hélou devzit donner leur imprimature à l'Atelier HSM - emportés par le mouvement et peuy enclin à réfléchir, le cl"ger local devant tant de facilités suivait en bons moutons_

 A l'inverse les projets des autres peintres verriers étaient rejetés, parfois zvec fracas. Pierre Toulhoat, Mingant

 

Le monde presbytéral commençait à  se réveiller. La comission d'art  sacré se divisent, leurs yeux s'ouvraient  Yves Pascal Castel en était le troublion

 

Les Monuments historiques, par Lisch enterinaient cette mode, ce patriarchat et cette exclusivité, l'architecte des Bâtiments de France suivait

 

Le changement d'architectes aux M.H et aux Batimentsde France amena une nouvelle réflexion qu'avait entamé l'Inspecteur des Monuments Historiques Massey de l'Epinay - La Bretagne et son vitrail ce n'était que HSM- s'en était trop

 

Le Linistère se bloqua- la Commission d'art sacré s'écroula

 

Les communes s furent maîtres doeuvre et commanditaires. Les comités s'éclorent- l'aspect du vitrail s'éclaircie - les barrières administratifs s'effacent - le dialogue s'instaure - la création prédomine; Pour eux le vitrail est couleur et est histoire Au peintre verrier de jouer le jeu.

 

C'était parfois déspérant,  

 

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