les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
3060561880+29-091954, époux de Marie Rivalan 12 12 1882 +12 12 1957,
vu par son fils YVES LE BIHAN jysqu'en 1939
Fait ses étudesà Pontivy puis aupetit Séminaire d'Auray ( vers 1895) il a comme condisciple un Quelven qui deviendra prêtre puis évêque. Je me souviens bien de Mgr Quelven, dont la famille était de Baud. Il avait une soeur qui avait fait des études et je crois me souvenir qui professait à Paris ou près de Paris."
Quand nous étions moi Yves et mon frère Maurice en vacances à Pontivy ou peut-être même pendant la guerre de 14-18 mademoiselle Quelven nous donnait des leçons. Je crois me souvenir que j'ai fait la route Pontivy -Baud en véllo pour aller chez les Quelven.
Félix mon père, acheva ses études à Sainte-Anne et monta à Rennes pour la médecine et aussi à Nantes. FélixLe Bihan, il nous aété dit qu'il était très chic, étudiant en médecine à Nantes, portant le haut de forme, il allait beaucoup au théâtre et nous en cassait les oreilles
Ilpassa sa thèse à Bordeaux, car il y avait des mouvemets revendicatifs et les universités de Rennes ou Nantes
Il épouse ç Pontivy le 9 zoût 1905 Marie Rivalan. Il va s'installer aux znvirons de Paris à Deuil la Barre. Il dut y rester 3,6ou7ans, je ne sais. Je me souviensd'une famille. Le Pharmacien du pays qui était à toucher ke passage à niveau. Ils avaient Odette et Simone, deux filles de nos âges Perdues de vu, Odette a du faire sa dentisterie à Paris. Quant à Simone ?
Vers 1910 la famille Le Bihan descend à Paris rue de Douai; Un appartement avec balcon sur la longueur de la façade. J'y faisais ka course avec les omnibus à chevaux qui passaient dans la rue.. et patatras, in jour j'ai culbuté et suis passé à travers un carreau. J'en ai conservé une balafre de haut en bas de gauche à droite, Elle me coupera les lèvres toujours visible
Dans la rue derrière la rue de Douai, nous avions fait la connaissance d'un famille Piriou oun Priou. Le ^ère et la mère qui avaient 50 à 60 ans à l'époque et leur fille qui était institutrice dans le quartier. Nous les a appelions. l'oncle Isidore, tante Léonyine et ta,tante Linette. Nous n'allions pas en classe.
Papa ayant trouvé à acheter la clienté d'un docteur rue<racine, Paris 6eime nous étions en plein quartier latin, un bel appartement au premier étage au-dessus de l'entresol Bains Douches au rez-chaussée. Sur l'arrière, un grand espace , donnant sur l'arrière du lycée Saint Louis et des immeubles du boulevard Saint- Michel, Il y vait un restaurant Rouillon - Duval, un bijoutier, un commerce de musique tenu par un vieux ménage, une Boulangerie, Au bout de la rue, le théâtre de l'Odéon.
AuTout début, nous fréquentions une école de la place Saint Sulpice. Ensuite nous rentrions à Stanislas, à 8 ans en 8eime
En 1914, papa fut mobilisé, à Compiègne. Nous fûmes pensionnaires
Jz me souviens des descentes à la cave, quand il y avait des alertes sur¨Paris. Les zeppzlins. Nous nous repliâmes avec maman à Pontivy
études au lyée de Pontivy pendant un an environ, je crois.
Le 29 juillet 1915, une certe postale sur Pierrefo,ds est adressée à monsieur le dovteur Le Bihan Médecin Aide Major, Dépot des Eclopés,Compiègne,