les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
Depuis le XV°siècle, et cela parcequ'un seigneur de Prat ar raz en Penhars avait Donné du bois pour la charpettte de la Cathèdrale de Quimper , quatre paysans choisis par le seigneur de Prat ar raz avaient le droit de "sonner dans la Cathèdrale et dans les rues de Quimper.
Cela se déroulait pendant la semaine sainte à l'office des ténèbres des Jeudi Saints, Vendredis Saints et samedis de Pâques
Ceci n'était pas une sonnerie pour palier àl'absence des cloches de la chapelle qui devaient être à ROME;
Cesquatre paysans entraient dans le choeur de cette Cathédrale, armés de KORnbout en terre cuite;
iLs sasseyaient dans les stalles parmi les chanoines puis à un moment donné, se levant, ils jouaient de leurs unstruments de faience. Bien sur, cela donnait une fanfare discornante.
Après avoir fait le tour de la Cathédrale en cornaillant comme des diables. ils parcouraient les rues de Quimper avec la même "musique sauvage" sauf du côté de la Terre au Duc, qui appartenait au Roi., entrainant derrière eux une foule joyeuse.
Cette tradition pris fin à la Révolution.
Ces quatres mêmes paysans réaparaissaient le Mardi de Pâques, qui était un jour férié, avec de grands paniers en osier, des pinces et des tenailles.
il devaient rahasser 2 oeufs par ménage ou alor 2 liards d'argent, en faisant du porte à porte. .
ceux qui refusaient,voyaient leurs portes enfoncées; Cela amena de nombreux procés, surtout avec les gens de passage qui n'étaient pas au courant de cette tradition, ou ne connaissant pas la langue bretonne.
A la fin de la journée il était faits deux parts, les oeufs plusfrais étaient vendus aux enchères; les autres étaient rapportés à Pratarraz, où le dimanche de quasimodo, lors du pardon de "Capellic ar Viou" ( la chapelle aux oeufs qui se trouvait non loin di château de l'autre côré de la route de Douarnenez;
Les gars de Penhars ainsi que ceux de Plonéis se bombardaient avec des oeufs.
Plus proche de nous, vers 1840, se tenait près de la chapelle une sorte de foire aux oeufs.
De cette chapelle, très petite il ne reste rien. En 1883 le talus bordant la route était fait de pièrres.
Echo de la Butte, Mémoire de Penhars, février 1992. jean-pierre le bihan 1 cf :BSAF 1883