Eglise Saint-Pierre. Edifice reconstruit en 1856-1857.
« dans le devis de la construction de l‘église actuelle en 1700, il était prévu que les vitraux de l’ancienne église seraient replacés dans la nouvelle.
Les armoiries du duc de Rohan figuraient en première place dans quatre vitraux.
Ceux de la famille de Bresal dans 4 vitraux au-dessous de celle de Rohan
La famille de Rosnivien ne se voyait que dans une fenêtre,
d‘autres armoiries, non identifiées, figuraient dans les vitraux.»
Commission extra-municipale des affaires culturelles de Ploudiry.
La verrière du chevet, qui est une Crucifixion, est le reste d’une grande Passion, postérieure à celles La Martyre et de la Roche-Maurice. Restaurée en 1990 par l'atelier Jean-Pierre Le Bihan de Quimper, photo avant restauration aves la résille de plombs de casse;
Le Guennec,historien, 1878-1935, y signale le duc de Rohan en donateur.
En 1700, il y a 3 vitraux derrière le grand autel,
et le chanoineAbgrall, au début du XX° siècle,dans ses notes manuscrites, voit 2 fenêtres figuratives dont le Couronnement de la Vierge du côté de l’épître et Jésus remettant à saint Pierre les clefs, du côté de l’évangile.
Verrières probablement disparues entre le relevé d’Abgrall et la pose de vitraux neuf en 1957, par l'atelier Guèvel de Pont-Aven. ce dernier a quasiment repris les mêmes sujets, Assomption et Clés de saint Pierre.
1677. Kerautret, maître peintre et vitrier, met des vitres aux lucarnes de l’église et accommode toutes les autres vitres.
1690, Alain Bourriquen, sieur du Jardin, peintre vitrier, accommode les vitres pour 6 livres et 4 sols.
1700, église rebâtie.? Landerneau.
1755, François Michelot, maître vitrier, 90 livres.
1856-1857. reconstruction sous Bigot.
Chapelle Saint-Antoine.
Armoiries des Rusunan.
Vitrerie à bas de rectangles irréguliers verre antique atelier Jean-Pierre Le Bihan Quimper,première moitiè XX° siècle