les articles sur le vitrail, succèdent à des pages de croquis mémoires ou vise versa dans le but de ne pas fatiguer le blogueur.
PLOMEUR.
Eglise Sainte-Thumette. Edifice actuel de 1760.
1753, ( ancienne église)
Dans la maîtresse vitre, 5 écussons sont encore en place,
dans la verrière côté évangile; sont les armes de Bretagne et un autre écu,
à la chapelle Notre-Dame de Pitié, armes de Bretagne et un écu blanc, chapelle du Rosaire, écu des de la Villeneuve avec casques et lambrequins.
à la chapelle sainte-Anne, Un vitrail peint, , avec au sommet les armes de Bretagne, puis armes de Penaulen , de Kerbullic, Tréganvez, Guezennec et Trogoff. Au-dessous, l’image du Sauveur et de deux donateurs, l’homme en cotte d’armes avec heaume posé près de lui avec écus des Kergoz Visdeloup et épouse mi Kergoz.
Chapelle Notre-Dame de TréminouXIII° XV° XVI°siècle.
1930, les armes des du Juch figurent encore dans la grande verrière.
1937, la chapelle possède encore quelques vitraux,
dont dans la maîtresse vitre,quatre panneaux et armoiries
On voie la Vierge et saint Jean au côté de la Croix,
dans le panneau à côté, une Vierge de Pitié.
Les personnages très courts se détachent sur des fonds de couleur unie
Le saint Jean, sur fond bleu, est vêtu de blanc.
La Vierge, sur une terre de sienne brûlée, porte un manteau doublé d’hermine et brodé d’or. Il est d’un beau bleu.
Le fond est rouge. On aperçoit un fragment du Golgotha.
Dans les soufflets,
sainte Marthe les mains jointes avec sa tarasque,
sainte Catherine avec un livre et sa roue.
Tête de Christ et Colombe (Saint-Esprit)
Les désastres ont été remédiés grâce à du ciment et des fragments de verre blanc.
Les armoiries qui existaient encore en 1927 étaient au nombre de trois.
Les deux soufflets en supériorité ont disparu.
Au-dessous et de chaque côté, deus petits écussons des La Forest.
Le troisième écussons est mi-partie du Juch la Forest (1436), blason qui provient de l’ancienne verrière.
Dans la fenêtre Nord du croisillon septentrional, il ne reste plus qu’un seul blason sur cinq, avec en supériorité Kerouant Kernuz.
1954, restes de vitraux avec armes de Jean de Kerouant et de Marguerite Le Divanac’h vivants vers 1530. Disparus vers 1964.