Chapelle Saint-Louis, côté de l’épître, vitre à cinq écussons, dont trois aux armes des Lesquelen et deux aux Goasvenou et Kersaingilly, l’un en alliance.
1750, Barthélemy Ferre réclame dans la maîtresse vitre, après les armes du Roi, celles des du Chastel, au nombre de quatre
Chapelle Notre-Dame-des-Cieux.XV°
Dans les fenêtres, sont des restes de vitraux où l'on reconnait la représentation de la mort de la Vierge: les apôtres entourent son lit funèbre et deux qnges transportent son âme au ciel.Ci-dessus montage photos des divers éléments en vue restauration atelier lebihan
Plus bas les trois Marie et des scènes détachées. de l'autre côté, la sainte Trinité, saint >Pierre et saint Paul
Autrefois, on voyait dans cette chapelle, en la vitre au-dessus de l’autel Saint-Jean, côté de l’Evangile, dans le premier soufflet, les armes de France et de Bretagne, au second et troisième, les armes de La Salle, et au bas deux priants, l’un portant figure d’homme d’armes protégé par un saint Maurice, l’autre priant en figure de damoiselle protégée par un saint François cordelier portant les armes de la maison de La Salle.
En la vitre du côté de l’Epître, le seigneur de Gazvennou a un écusson d’argent au léopard de sable et de gueules : plus bas, sont deux personnages, homme et femme ; l’homme armé d’une cuirasse, portant en sa casaque deux figures dudit lion de sable et de gueules, la femme, aroyée sur son habit deux barres d’argent, armes de ses prédécesseurs, seigneurs de Coatquena et du Faou. Le Guennec note dans le réseau de la maitresse vitre neufs écussons qui étaient ilisibles à l'époque car cachés par le rétable. Il proposait les armoiries des QuélenVieux Chastel, QuélenQuintin, Quélen Rostrenen, Quélen Coatmen, QuèlenQuélennec, Quélen Perrier, quélen du Chastel, Quèlen Guimerch