GUENGAT - EGLISE SAINT-FIACRE
Le chanoine, historien Abgrall fin XIX° signale dans la chapelle de Lanascol des phylactères et devises à légendes.
1706, dans l’écroulement du clocher, deux verrières, les 6 et 8, sont endommagées et déposées. Il s’agissait, entre autres, d’un Jugement Dernier dont on trouve certains panneaux en 1 et 4.
En 1, baie à gauche de la Passion,restes d’une Enfance du Christ et trois scènes pouvant provenir d’une vie du Christ.
En 2, baie à droite de le Passion, l'architecte Bigot signale en 1839 que les six rosaces qui terminent l’ogive sont en verre blanc. Actuellement,on trouve une composition de vitraux d'accompagnement du verrier parisien Labouret.
En 3,baie se trouvant au dessus de l 'autel côté nord, dans le tympan, nombreux anges musiciens qui sont les restes d’une verrière dont le sujet nous est inconnu.
En 5 et 7, baies côté nord, voile de Véronique et anges XVe dans le réseau de baies vierges d’autres sujets. La partie basse de ces verrières n'existaient plus;
En 6 et 8, verrières du Quimpérois Cassaigne, proches des années 1840, époque où il restaure la Passion. Ces vitraux furent remplacés par des vitraux de l’atelier de Jean Jacques Gruber, maitre verrier parisien.