FOUESNANT, SES VITRAUX DISPARUS A L'EGLISE ET DANS LA CHAPELLE DE L'ARCHIPEL DE GLENAN.
Eglise Saint-Pierre.XII° siècle.
1776, Un procès-verbal de prééminences relève dans la baie du chevet un écusson non identifié et dans le premier vitrail à droite, de cette baie, un autre écusson; Il en est de même en la chapelle de Notre-Dame.
Jean-Pierre de Guernisac, chevalier du Stang, réclame des prééminences de temps immémorial en la maîtresse vitre, côté Epitre , ce qui n’existent pas mais sont constantes par aveux du Roy de 1353 et 1683.
Messire François-Henri De Franquetot, duc de Coigny, réclame l’écu de la principale vitre.originaire de Normandie, est aussi baron de Nevet paroisse de Plogonnec, et sieur de Lezargant en Plonevez-Porzay. famille qui fournira deux maréchaux de France et qui s'est éteinte en 1865;
Joseph du Guermeur, seigneur de Kerguilly, réclame ses armes dans le vitrail de la chapelle Notre-Dame.
1980, dans les bas côté du choeur, verrières kaléidoscopes du milieu du XIX° déposées lors des travaux et dans les baies hautes verrières grisaillées
.
Chapelle des Glénans.
Succursale en date du 27 septembre 1871, cette chapelle fut construite par Mrg de Marc’hallach, recteur.Un vitrail provenant de cette chapelle et représentant une Vierge, est conservé chez un particulier de Plomelin.