DOUARNENEZ VITRAUX DISPARUS EGLISES ET CHAPELLES .
Chapelle Saint-Michel.XVII° siècle
En 1735, Jean Gabriel Rogeron, maître vitrier à Quimper est signalé y travaillant.
Au XIX° siècle, fourniture d’une vitrerie à grisaille de Jean Louis Nicolas, peintre verrier de Morlaix, avant la fourniture de 1 baie de vitraux par Philippe Devivier de Morangis en1976.
Un panneau de vitrail de Jean-Louis Nicolas, en loque, a été retrouvé en 1989, à l’agence des Bâtiments de France à Quimper.Il provenait bien de cette édifice;
Eglise Saint-Herlé, Ploaré.
Au XVII ième siècle Il existe une maîtresse vitre avec les armes de Pierre de Lanninon et de Renée de Quelen, (1641-1651) En 1680, le 14 Juillet, les droits honorifiques et prééminenciers indiquent des armoiries seulement dans la fenêtre principale, qui doit être probablement la maîtresse vitre,
Sont : au parti au premier , c’est à dire au plus haut de la baie, un blason d’argent à 3 mollettes de sables, au chef de gueules chargé de 3 roses d’argent, au 2 d’argent à 2 fasces de gueules, qui est Lannion, le second celui des Quelen
En 1788, Suite à un aveu, il y avait dans la verrière près du Maître-Autel et dans celle du Pignon oriental, les armoiries des Halna du Fretay, baron du Vieux Chastel et Coatnezre.
En1836, le 29 mars, une tempête occasionne des dégâts aux vitraux.
En 1944, Les vitraux des baies 1, 2, 3, 4 et 5, sont endommagées par des explosions et remplacées par des vitraux du verrier Labouret
Eglise Saint-Jacques, paroisse de Pouldavid.
Dans la baie du Chevet, fragments d’un Jugement Dernier du 1470-1490, accompagnés des armoiries des seigneurs de Névet disparues par la suite ainsi que celles des Kervern.
Actuellement réemploi dans le réseau d’un donateur plus tardif, pièce posée à l’envers. Est-ce un reste d’une composition montrant le seigneur de Nevet en orant avec sa femme ayant l’un saint Jean et l’autre la Vierge Marie comme intercesseurs. Est-ce Jean I ou Jean II ?pièces en cours de restauration; les plombs de casse ont été enlevés, une résine et des pièces de complèment seront incrustées.
Le chanoine Abgrall signale au début vingtième l’existence de trois panneaux d’une Passion qui ont disparu probablement lors de la pose de la vitrerie fin XIXe. Vers 184O,
pose dans le réseau de vitraux kaléidoscope
avec panneaux à symboles et monogrammes
œuvre probable du peintre vitrier Quimpérois Cassaigne, qui a restauré, probablement en les y incorporant les pièces du Jugement Dernier, un Christ en gloire, des élus, moines et femmes aux seins nus. Une pièce offre un paysage avec marais,dont les corps des élus ont dus sortir;
Chapelle Saint-Jean, Tréboul.
Restes de pièces de couleurs d’un blason XVIIe au-dessus de la porte de la sacristie. Autres baies, vitrerie blanche, du XVI° remplacée par des vitraux du peintre douarneniste René Quéré en 1986-1988, avec l’atelier quimpérois de jeanpierre le bihan ;