COMMANA.DE SES VITRAUX DISPARUS,
Dans un de ces vitraux,
les outils de travail des paroissiens du XVII°siècle
Et non les armoiries des seigneurs;
Eglise Saint-Derrien.XVI°-XVII°siècle
Sur la maîtresse vitre, se voient encore au XIX° siècle, les armes des Bouvans, Ogée, édition de 1845.
Où une noble doit se retirer face aux paroissiens au sujet de ses armoiries. Et où on découvre que les paroissiens avaient, dans un vitrail, fait dessiner leurs outils de travail.
En1645, en prévision de la démolition d’une vieille muraille du costé de l’Epître, ,comme il fallait remanier la chapelle du Sauveur ou du Rosaire, la dame Guillemette du Drenec, compagne de François de Poulpry avait bien droit aux armes dans la vitre au dessus de l’enfeu, mais que la vitre de la chapelle elle-même appartient aux paroissiens car « d’ancienneté les contremarques des dits paroissiens estoit dans la vitre au dessus de l’autel de Saint-Sauveur, y ayant des faulx, des cognées (coques), charettes et autres ustensils (instruments) de labourage. » (autre lecture)