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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 14:19

Les travaux de restauration de la cathédrale ont commencé dans les années 1980.

 

Menée par les ateliers Le Bihan et HSM, pour la restauration des vitraux, l'entreprise Quéré ayant assuré l'excécution des ferrures. Cette opération c'est achevée en automne 1993 (1ère tranche des travaux)

 

Une copie de Castelnau du 19ème par Antoine, travail de recherche par jean pierre de la baie d'axe.Exécution confiée à Antoine.

 

Pierre Floch tailleur de pierre

 

Atelier Ange Lescu

 

Philippe Bournigal ; ferronier

 

Equipe de maçon de la famille Mirou

 

M. Chauveaux : Chauleur, directeur de l'Acanthe

 

Architecte : Benjamin Mouton

 

Vérificateur en Chef des Monuments Historique : Marc Le Mesle

 

Ernesto ar Alndeta, doreur des grilles du choeur.

 

Plusieurs années de restauration choyées par une dizaine d'artisant

 

L'Equipe de l'Atelier Le bihan vitraux

 

Restauration des verrières XVème coté Nord (53 m²)

Copie de la crucifixion de 1417 au chateau de Bretennou

Fourniture de verrière de doublage : 27 m²

 

Nombre d'heure travaillé par l'équipe de l'atelier ; 4850 heures

2673 pièces neuves

3551 collages

292 doublages

 

Pour la pienture - collage - doublage Xv : Antoine le Bihan et Jean Pierre Le Bihan

 

Coupe, mise en plomn, collage, doublage : Gilles Pelleter

 

Recherche de document - coordination des travaux -: Jean Pierre Le Bihan

 

Masticage XIX et verrière de doublage : Patrick ORY

 

Pose : Gilles PELLETER, Philippe LE PAPE, Emmanuel LE BIHAN, Patrick ORY, Michel DARDENNES, Jean Pol LE FLOC'H

 

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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 14:04

1841,le maître verrier Cassaygne  fournit les vitraux  du transept et conserve les armoiries.

 En 1889 la restauration des vitraux par l'atelier de Félix Gaudin. Il lfit ce travail du côtéSud avec r2fection  des encadrements

1923 restautation dze 3 baies par Labouret.

1954,  restauration par JJGruber.

 

En 1962 par l'Atelier Jean-Pierre le Bihan. L'architecte des Bâtimentsde France étant  MonsieurCailleau. .

1965, Baies du choeur; vitrerie-teintée par l'atelier Jean- pierre LeBihan

1978, restauration de l'atelier d'Huber de Sainte Marie.. Refection des solins 'et vertaines repiques

 

1987, transept, 2 baies, remise en plomb complète des baies et de la vitrerie  losange.

baies 5,6,7, 8, 9, 10, 11, , baies à d"eux lancettes cintrées de 3 panneaux et réseau composé d' un soufflet  ou lobe ovaleet 2 écoinçons

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 09:43

3060561880+29-091954, époux de Marie Rivalan 12 12 1882 +12 12 1957,

 vu par son fils YVES LE BIHAN jysqu'en 1939

Fait ses étudesà Pontivy puis aupetit Séminaire d'Auray ( vers 1895) il a comme condisciple un Quelven qui deviendra prêtre puis évêque. Je me souviens bien de Mgr Quelven, dont la famille était de Baud. Il avait une soeur qui avait fait des études et je crois me souvenir qui professait à Paris ou près de Paris."

 

Quand nous étions moi Yves et mon frère Maurice en vacances à Pontivy ou peut-être même pendant la guerre de 14-18 mademoiselle  Quelven nous donnait des leçons. Je crois me souvenir que j'ai fait la route Pontivy -Baud en véllo pour aller chez les Quelven.

 

Félix mon père, acheva ses études à Sainte-Anne et monta à Rennes pour la médecine et aussi à Nantes. FélixLe Bihan, il nous aété dit qu'il était très chic, étudiant en médecine à Nantes, portant le haut de forme, il allait beaucoup au théâtre et nous en cassait les oreilles

 

Ilpassa sa thèse à Bordeaux, car il y avait des mouvemets revendicatifs et les universités de Rennes ou Nantes

 

Il épouse ç Pontivy le 9 zoût 1905 Marie Rivalan. Il va s'installer aux znvirons de Paris à Deuil la Barre. Il dut y rester 3,6ou7ans, je ne sais. Je me souviensd'une famille. Le Pharmacien du pays qui était à toucher ke passage à niveau. Ils avaient Odette et Simone, deux filles de nos âges Perdues de vu, Odette a du faire sa dentisterie  à Paris. Quant à Simone ?

Vers 1910 la famille Le Bihan descend à Paris rue de Douai; Un appartement avec balcon sur la longueur de la façade. J'y faisais ka course avec les omnibus à chevaux qui passaient dans la rue.. et patatras, in jour j'ai culbuté et suis passé à travers un carreau. J'en ai conservé une balafre de haut en bas de gauche à droite,  Elle me coupera les lèvres toujours visible

 

Dans la rue derrière la rue de Douai, nous avions fait la connaissance d'un famille Piriou oun Priou. Le ^ère et la mère qui avaient 50 à 60 ans à l'époque et leur fille qui était institutrice dans le quartier. Nous les a appelions. l'oncle Isidore, tante Léonyine et ta,tante Linette. Nous n'allions pas en classe.

 

Papa ayant trouvé à acheter la clienté d'un docteur  rue<racine, Paris 6eime nous étions en plein quartier latin, un bel appartement au premier étage au-dessus de l'entresol Bains Douches au rez-chaussée. Sur l'arrière, un grand espace , donnant sur l'arrière du lycée Saint Louis et des immeubles du boulevard Saint- Michel, Il y vait un restaurant Rouillon - Duval, un bijoutier, un commerce de musique tenu par un vieux ménage, une Boulangerie, Au bout de la rue, le théâtre de l'Odéon.

 AuTout début, nous fréquentions une école de la place Saint Sulpice. Ensuite nous rentrions à Stanislas, à 8 ans en 8eime

 

En 1914, papa fut mobilisé, à Compiègne. Nous fûmes pensionnaires

 

Jz me souviens des descentes à la cave, quand il y avait des alertes sur¨Paris. Les zeppzlins. Nous nous repliâmes avec maman à Pontivy

études au lyée de Pontivy pendant un an environ, je crois.

Le 29 juillet 1915, une certe postale sur Pierrefo,ds est adressée à monsieur le dovteur Le Bihan Médecin Aide Major, Dépot des Eclopés,Compiègne,  

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 17:40

Dans cette salle à manger la fenêtre était ouverte, avec des petits gâteaux et des bouteillesd'apéritif

 

La conversation était rytmée par les carillons de la cathédrale Saint Corentin dont les flêches se poitaient au-dessus des toits des rues  voisines.

 Elle nous parla de Portsan qui se trouve entre Le Pouldu et Doelan

 

Je ma rappelle qu"à Portsan àn disait:" la petite montagne ptèe de la maison, et la petite montagne, lorsqu'on la voit actuellement ; Je me dis: c'est n'est pas possible."

 Etant enfant je montais jusquen haut. Cela faisait quelque chose.

 Après ça, les grandes n'en voulaient plus. Il n''y avait plus d'amis, on était trop seul

 On s'y plaisait nous les petits.

 

Il y avait un petit ruisseau. Unemaison charmante.

Ce n'étais pas une maison de  l famille. C'était àune famille de Quimperlé et même qu'avant. Le mari étant mort elle voulu la vendre Si bien que Mamanr avait falli. Non, nous ne l'avons pas acheté<;

C'est un tort  Quoîque Maintenant c'est beaucoup bâti.

 

Dans Portsan, il y avait une vieille petite chaumière.

 

Quand on descendaient la côte, et la côte etait trèe dure pour les chevaux.

C'était une côte avec de grios rochers. Vous savez il n'y avait que ça

Même les goêmoniers n'y passaient pas et les cgevaux n'y âssaient pas d'ordinaire, Mamère avait toujours peur q'une bête se casse la patte

Ce que l'onn faisait et, ce n'était que pour le déménagement, qu'elle venait jusqu'en bas. Autrement Danch dételait. Il n'y avait personne, pas de voleur  Il dételait le break ou la voiture qui venait avec papa ou maman le dimanche, et puis ildescendait seschevaux jusqu'en bas. Alors ça s'ils n'étaient pas attelés, ils marchaient facilement, et on pouvait les faire marcher sur la côte, et alors autremeent il leur faisait prendre leur. bain

Il y avait une écurie, enfin, c'était une cave<; <et puis Alors... les grandes ont dit "Oh maman.. maman.. et papa était mort.

J'étais toute petite, jr devais avoir, Ecoutez, c'est avant la guerre, la guerre de 14-18,

Et alors il y avait un peintre qui venait sur la plage

Mais puisque j'étais en 1908, j'avais donc 6 ans. J'avais 63  ans Alors on est resté encore une année. Et puis comme maman n'a pas voulu acheter, Papa vivait encore en 14, Papa n'est mort qu'en 16, alors comme ils n'ont pas voulu acheter, les grandes disaient;" Papa n'chète pas ça, on n' a pasd'amis.

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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 16:53

Dès le 4 août, une rumeur courre annonçant que lesaméricains arrivent.; Un tel les a vus..On nous parle d'un accrochage des FFI avec les allemands dans la nuit précédente. Les drapeaux commencent à se voir aux fenêtres. Notre père sort aux nouvelles.

Au retour, il nous dit que les allemands quittent Quimper, que les habitants sortent; Que le drapeau bleu blanc et rouge flotte sur la <cathédrale; que le préfet a été remplacé et qu'ue le drapeau bleu blanc rouge y flotte aussi

 

 

Suivant notre père, portant son appareil photos, nous nous mettons à la fenêtre de notre chambre, au deuxième étage, fenêtre qui balaye, par dessus lesjardins,Quimpérois, une grande partie de l'Est de Quimper, Cathédrale comprise.

C'est de cette fenêtre et de celle du troisième sur rue que nous allons participé aux faits et bruits de premiers jours de la Libération.d'Août 1944.

 

Nous somes aussi témoins, en plein après-midi de la pose au haut de la flêche nord du drapeau ferançais. Nous suivons, pour moi, fébrilement la  silhouette plus sombre que les pièrres, qui avance lentement vers le sommet. Le suspens existe Des rumeurs viennent de la place Saint Corentin de temps en temps. Je crois entendre un coup de feu. D'autre coups de feu doivent en faite être plus tard dans la jourrnée lorsqu'un détachement FFI rencontre sur les quais un blindé allemand. 

Sur la flêche l'homme avance, il s'appelle Guillou et brusquement lorsqu'il atteint le sommet, le drapeau se détache et vole au vent au dessous du coq. On devine plus que nous entendions , dans une rumeur la Marseillaise.

 C'est peut-être la première fois que je l'entends. Près de nous, notre père prend des photos  depuis lesfenêtres, tandisque notre mère, affolée nous recommande de ne pas tomber. du, mur du jardin qui est une petite espace de 25 m2  clos de quatre murs de hauteurs diverses dôassant 2 mètres Sur lagauche cette courette est dominée à une centaine de mètres par l'Ecole Jules Ferry. Sur la droite, en montant sur un escabeau,on retrouvait la vue sur Quimper que nous avions quitté plus haut; Il n'y avait pas longtemps queJe yeutais la Cathédrale; la place, le mont Frugy,la t^te dépassant le mur à peine. Lorsque le mur sur la gauche est percuté avec fracas et des poussières de ciment et de pierres m'arrosant

 

De se lieu nous découvrions une second drapeau posé qur la sculpture du <roi <Gradlon. De nouveau le vent nous apporte des aplaudissement

 

A gauche de la Cathédrale le Mont Frugy est complètement pelé; les arbres ne demarrant qu"à la hauteur de l'édifice.

 

des enfants contre un mur

 

Durant la journée, nous sommes resté quasiment fidèle à notre poste, ne le lachant que pour nous joindre, au carrefour des rues de Kergariou et etValentin,  aux enfants des  voisins. Pour nous tout semblait calme; les hommes du quartier y tenaient colloque   Un bruit les chassa brusquement. Ce ne fut pas notre cas  nous étions     près de cinq garçons.

 

un peu plus tard Un un sidecar  allemant déboucha.  Déscendus, Ils nous poussèrent contre le mur des deux maisons voisines, mitraillettes au poing.

 

La mère des  plus prôches voisins sortie de chez elle.

 

 Elle se défendie: " ce ne sont pas des téroristes  regardait ce sont des enfants, il sont encore en culottes courtes;"

 

Nous rentrionsrapidement à la maison.

 Cette image je l'ai traînée en moi, enfant, puis adulte et ce, jusqu''à réssament; où lorsd'un jour de réunion, j' y  dècouvre une soeur des copains du mur. 

 

Pour laver cette histoire qui ne me laisait pas tranquille  je lui  ai posé après m'être présenté, Elle m'avait reconnue d'avance, ce qui ne fut pas long. la question  était: " si cette affaire n'était pas un songe de ma pârt. Non dit-elle,  Yout est vrai "Notre mère  arrivée  en larmes  dans la maison nous a raconté à nous tous, cette histoire ce jour là "

 

 Jen  suis sortie alllégé mais possède toujours cette  'image. 

 

A cette image se sont joint d'autre fais: Un  départ:  ladéportattion de nos voisins d'en face, ainsi que,  l'arrivée  en classe primaire d'un èlève et de sa soeur  nous annoncant à travers ses larmes que toute la famille sauf eux deux avait été enlevée dans la nuit.

 

Le 4 août nous faisons un petit tour en ville avec notre  père, soit la rue de Kergariou puis la rue du Guéodet; les trois égayées de drapeaux jusqu'à la place Saint-Corentin. Je dis nous et je pense que seule ma soeur et moi nous bénéficions de ce droit, mes deux frères étant trop petits sont restès à la maison.Ils pouvaient voir derrière les carreaux, en plus des hommes du quartier et des gens qui remontaient vers le champ de foire, ou descendaient, une femme, épouse d'un couvreur ,qui avait sur sa fenêtre une cage où un corbeau qui parlait!

Nous aurons du mal à dormir ces soirs là: l Notre père, de son côté, à mis la radio. Il essaye de tenir à jour sa carte aux petits drapeaux;du  front allié. L'Afrique du Nord, l'Italie.

Il terlminera aussi   sur le mur de l'escalier du grenier ses derniers drapeaux de toutes les couleurs.qu'il offrit en ville. Ce mur de plâtre en gardera longuement les traces..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 17:21

 

Kermoisan, manoir et dépendances

Toute la partie appelée Kermoisan était à l’origine composée : du manoir de Kermoisan dont le propriétaire était monsieur Jean René Cornic. De ce manoir dépendaient premièrement la longère. Celle-ci était habitée par la famille Doaré qui exploitait une petite partie des terres. Elle servit tout à tour d’écurie, de locaux à la clique de Penhars puis aux jardiniers de la ville. Dépendait deuxièmement une autre petite ferme qui était tenue par la famille Bourbao. Après le départ de ces fermiers, ces maisons furent louées à des particuliers : on peut citer, les Conan et les Plouzennec. Mademoiselle Catherine Dornic profita du départ des fermiers pour restaurer les dépendances qui furent alors louées à monsieur et madame Le Du et à Louise Cornic. Dépendait aussi de ce manoir la grande ferme qui était tenue par les familles Douguet, Laurent, Cariou et Marc. Nous n'avons pas connaissance de leurs prédécesseurs.

Au début du XXe siècle, le manoir appartenait à la famille de Servigny et était habité par mademoiselle Du Chatelier. Le préfet en fit à cette époque sa résidence d été.

Après la première guerre mondiale, le manoir et les terres de Kermoisan    devinrent la propriété de Jean René.Comic, ancêtre des propriétaires actuels : les Maurice.

Autre dépendance du manoir de Kermoisan, la ferme de Kerjestin qui fut acquise par monsieur et madame Peillet. Actuellement ce sont leurs descendants qui occupent les lieux. La maison Toulen à Kergestin fut rasée pour la construction de la ZUP ainsi que les dépendances de Kermoisan.

Les grandes kermesse qui se sont déroulées dans les années 1963-37 etc. devant la manoir des Kermoisan, champs qui possédait une très belle vue sur l’Odet et la baie de Kérogan.

 

Ces kermesses débutaient le matin dans Penhars avec un beau défilé de chars à banc avec des couples costumés en tenue de mariés et des enfants habillés en petit breton.

 

La partie gauche de la rue Paul Borossi où sont construits les H.L.M., c’est-à-dire la rue Georges Philippar et la rue de Vendée dépandait de la ferme du Bourg, dite la Métairie. (actuellement Centre Culturel Musulman), ainsi que la partie droite de la rue de Kergestin où c’est construit la Collège Max Jacob et l’école primaire de Kerjestin. Quant à l’école maternelle, elle est située sur l’ancienne prairie de Kermoisan. La maison Draoulec et la maison Scotet sont elles aussi sur les terres de Kermoisan. 

                                                                                                                                      Marie-Jeanne Larvol.

 

 

 

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 09:47

Le 29 décembre 1902,  Combes, président du Conseil et ministre des Cultes voulut que le traitement des prêtres bretons soit désormais lié à l'usage ou non de la langue bretonne Ces derniers, les prêtres,  à cette époque, étaient assimilés aux fonctionnaires et émergeaient au budget de l'état

 

 

La langue bretonne était itilisée par les prêtres comme langue de l'instruction religieuse; sermons, catéchismes et dans la lecture d'ouvrages religieux comme le "BUEZ AR ZENT" qui était lu le soir dans les veillées.

 

Ce ministre voyait dans les prêtres bretons des personnes qui voulaienr tenir leurs ouailles dans l'ignorance"...

Les bretons ne seront républicains que lorsqu'ils parleront le français.

 

Pour répondre à cette " manoeuvre, l''Evêque de Quimper lança une enquête sur l'usage des langues, le français et le breton dans les sermons et au catéchisme.

 

 

 

Le recteur de Penhars répondi à l'enquête du ministre. Il indiqua que sur les trentes enfants de 9 à 10ans, entrant cette année 1902 au "caté", trois seulement auraient pu apprendre le catéchisme en francais.

Cette proportion n'est certe pas celle des adultes mais indique bien que le parler en famille était bien le breton.

 

L'enquête confirme cette emploi du breton car tous les services de l'église Sainte Claire, sermons,,prônes enterrrements etc- étaient tous faite en breton comme 256 paroisses du diocèse. Seules 5 pr^échaient en français.

 

 

 

Qu'en était-il dans Quimper

 

A saint Corentin, sur 344 enfants; 4 eulement étaient incapable d'apprendre le catéchisme en français. La courbe remontait à Saint-Mathieu avec 10 sur 193. Par contre à Locmaria, les 18 enfants parlaient tous le français

 

 A Penhars les adeptes de la langue française qui habitaient les "bourgs de penhars: le Moulin-Vert,, rue et route de Pont-l'Abbé, le Corniguel étaient priés d'aler se faire instruire pour le caté et les offices dans les églises de Quimper.

 A Ergué-Gabéric, bien que 5 sur 53 pouvaient suivre le catéchisme en français, ils sont inscrits au catéchisme en breton.

 

Qu'advint-il de ces recteurs? Celui de Penhars passa au travers du filet et conserva son traitement, ceux de Kerfeunteun et d'Ergué-Armel furent condamnés pour usage abusif de la langue bretonne, et du coup se  trouvèrent au pains sec et à l'eau

 

d'après jl Floch la semaine religieuse 1979

 

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 18:08

 Cela se passe il y a bien plus de 100 ans.

 

Il s'agit du témoignage d'une Quimpéroise dont la mère était née en 1875 à Prat-ar-Rouz et qui  possédait en 1994 une nappe dont le tissu a été créé à Penhars

 

Vers 1880-1900, on cultivait le lin à Prat-A.r-Rouz Toutes les opérations: rouissage, filage tissage ( un tisserant venait à domicile) étaient eggectuées à la ferme, nous signat-ell. Et cela  a été raconté par sa mère. -

 

Echo de la Butte page 15 avril 1994.

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 17:44

C. Olivier a fourni dans lL'E'COS DE LA BUTTE d'avril1994 lcette trace de cette vieille chanson bretonne.

 

Il s'agit d'un mari qui se lamentait de la dispârition de sa femme qui en donnait le signalement suivant entre autre

 

OUES AL LUDU' ZO GANT vARI          Mari sent la cendre

 

 

eUR FRI TOUGN' ZO GANTI OAZ,           Enplus, elle a un nez épaté

 

 

Ma neuzé n'ess ket e far

D' ober krampouez gant bleut malet          Mais elle n'ai pas sa pareille

                                                                                      Pour faire des cêpes avec la farine Du lai de vache et des oeufs de poules

 

Laez ar zaout hag viou yar

 

Si ça vous a donné du goût un pêtit peu! tant mieux.

 

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 20:20

Eglise Saint-Pierre ;1856-1857

 Dossier Vitraux XV et XVIe

Photos baies nef, sur papier dans dossier              

 

« dans le devis de la construction de l‘église actuelle en 1700, il était prévu que les vitraux de l’ancienne église seraient replacés dans la nouvelle.

Les armoiries du duc de Rohan figuraient en première place dans quatre vitraux. Ceux de la famille de Bresal dans 4 vitraux au-dessous de celle de Rohan La famille de Rosnivien ne se voyait que dans une fenêtre, d‘autres armoiries, non identifiées, figuraient dans les vitraux.» Commission extra-municipale des affaires culturelles de Ploudiry.

 La verrière du chevet, une Crucifixion, est le reste d’une grande Passion, postérieure à celles La Martyre et de la Roche-Mauriceque les vitraux de l’ancienne église seraient replacés dans la nouvelle.

 

Les armoiries du duc de Rohan figuraient en première place dans quatre vitraux. Ceux de la famille de Bresal dans 4 vitraux au-dessous de celle de Rohan La famille de Rosnivien ne se voyait que dans une fenêtre, d‘autres armoiries, non identifiées, figuraient dans les vitraux.» Commission extra-municipale des affaires culturelles de Ploudiry.

 La verrière du chevet, une Crucifixion, est le reste d’une grande Passion, postérieure à celles La Martyre et de la Roche-Maurice.

Le Guennec y signale le duc de Rohan en donateur.

En 1700, il y a 3 vitraux derrière le grand autel, et Abgrall, dans ses notes manuscrites, voit 2 fenêtres figuratives dont le Couronnement de la Vierge du côté de l’épître et Jésus remettant à saint Pierre les clefs, du côté de l’évangile. Verrières probablement disparues entre le relevé d’Abgrall et la pose de vitraux neufs par Guével qui a quasiment repris les mêmes sujets, Assomption et Clés de saint Pierre.

1677. Kerautret, maître peintre et vitrier, met des vitres aux lucarnes de l’église et accommode toutes les autres vitres.

1690, Alain Bourriquen, sieur du Jardin, peintre vitrier, accommode les vitres pour 6 livres et 4 sols.

1700, église rebâtie.

1708-1712. Jacques de Kergrach, maître vitrier, fournit des vitrages. Est dit de Landerneau.

1755, François Michelot, maître vitrier, 90 livres.

1856-1857. reconstruction sous Bigot.

Abgrall, fonds Bibliothèque Quimper. Description de la baie du chevet et signale un Couronnement de la Vierge du côté de l’Epître et côté Evangile la remise des clés .

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